Je ne sais pas trop ce qui se passe dans Griffintown, mais c’est vraiment sale à plusieurs endroits. Je ne connais pas le pari de nettoyage, mais je croyais que des balais mécaniques sillonnaient les rues une fois par semaine. Peut-être que le pari n’y est plus.
C’est parce que les automobilistes ne respectent pas les panneaux d’interdiction de stationnement pour nettoyage
Et la Ville n’a pas le droit de les remorquer… le nettoyage de rue n’étant pas une raison valide au yeux de la cour
L’arrondissement avait même fait une opération de nettoyage manuel un samedi matin, mais les automobilistes n’ont pas respecté l’interdiction de stationnement
Dans ce cas, compte tenu que ce pari de non-respect est connu, il devrait y avoir une brigade de nettoyage piétonne et/ou à vélo. Et cette brigade devrait pouvoir nettoyer les rebords de rues. Simplement abdiquer au nettoyage car les véhicules enfreignent les règlements ne me parait pas une solution optimale. Doit-on laisser les rues dans un tel état à cause de quelques récalcitrants?
Sur le tronçon de rue qui aurait pu être refait il y a 10ans…
Je pense que les prix des contravention devrait s’ajuster au cout de la vie. Devant chez nous la zone 15 n’est JAMAIS respectée. Il tous le temps de voitures avec des tickets. Plusieurs fois c’est la même Mercedes GLC AMG noir…
J’ai croisé les brigades de la SDC et de la Maison Benoit Labre cet été sur Ottawa et Peel. Sinon, il y a un groupe de résidentes et résidents du quartier qui ont « adopté » des rues à nettoyer.
L’arrondissement n’abdique pas, mais il n’y a pas que Griffintown à nettoyer, il y a 5 autres quartiers dans l’arrondissement. (et la ville-centre n’a pas transférer plus d’argent à l’arrondissement malgré l’augmentation drastique de la population).
Les travaux publics ont un horaire et un ordre précis des rues à nettoyer. Si personne ne signale la malpropreté au 311 entre deux passages des cols bleus, le nettoyage va juste attendre au prochain passage. Quand l’arrondissement fait un blitz de nettoyage dans un secteur, les cols bleus ne font pas l’entretien prévu ailleurs à l’horaire normale. Et ils ne peuvent pas travailler plus qu’un certain nombres d’heures selon leur convention collective.
Montréal change de stratégie pour assurer un meilleur déneigement des débarcadères pour personnes à mobilité réduite. Précision, ce sont les débarcardères qui sont visés et non les places de stationnement, donc des places où les automobilistes peuvent arrêter pour une courte durée, incluant les personnes qui conduisent les autobus
La Ville de Montréal annonce une optimisation significative, dès l’hiver 2024-2025, des opérations de déneigement des débarcadères pour les personnes à mobilité réduite. Cela fait suite à la révision de ses pratiques et de ses normes de service en la matière.
Après une mesure de 5 cm de neige au sol, plus de 400 débarcadères destinés aux personnes à mobilité réduite bénéficieront de contrats spécifiques de déneigement.
Les opérations seront réalisées en continu et devront être terminées au plus tard huit heures après la fin des chutes de neige. Un budget de plus de 200 000 $ servira à mettre en œuvre ce service dès l’hiver 2024-2025.
Cette optimisation, à la satisfaction de l’Ombudsman de Montréal, résulte d’une collaboration entre la Ville, ses 19 arrondissements, la STM et l’organisme Ex aequo.