Politique municipale Ville de Québec (région métropolitaine)

Bruno Marchand était à l’émission radio Tout peut arriver aujourd’hui

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Ou juste écouter : Entrevue avec Bruno Marchand

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À un moment donné il faut faire des choix dans l’intérêt général du public et en accord avec la protection de l’environnement. Ici à Québec tout le monde a accès à l’électricité, alors le choix de chauffer au bois n’est pas un droit absolu en ville et doit s’accorder avec les véritables besoins de la communauté.

Donc une bataille de choix individuels en opposition au bien-être collectif. La décision de la Ville de limiter et réglementer le chauffage au bois en zone urbaine dense, vise justement à assurer à tous une meilleure qualité de l’air basée sur des études scientifiques à l’échelle mondiale largement documentées.

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Une aide qui permettra aux acheteurs de respirer un peu plus quand on tient compte de tous les frais reliés à l’achat puis à l’installation dans un nouveau domicile. Espérons que d’autres villes suivront cet exemple.

La Ville de Lévis annonce une hausse moyenne de l’impôt résidentiel de 2,9 % pour 2025. Malgré un gel de construction décrété la semaine dernière sur les deux tiers du territoire, le maire, Gilles Lehouillier, va garder en place la taxe pour les propriétaires de terrains vacants desservis (TVD).

L’an dernier, la Ville de Lévis avait procédé à une hausse salée de l’impôt foncier de 7,7 %.

En 2025, la taxe sur les terrains vacants permettra à la ville d’engranger environ 15 millions de dollars. Lévis décide de ne pas se priver de tels revenus, [même si elle a décidé de stopper l’octroi de nouveaux permis de bâtir dans les secteurs Desjardins et Saint-Nicolas.]

(Lévis met un frein aux nouvelles constructions | Radio-Canada)

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Contrairement à la croyance populaire, Québec ne se positionne pas systématiquement plus à droite que le reste de la province. La réalité politique régionale «n’est pas si simple», révèlent deux auteurs dans leur nouvelle étude publiée à la Revue canadienne de science politique intitulée Géographie politique de l’opinion québécoise et réévaluation du «mystère de Québec».

«Quand on combine tout ça, on dit que Québec est plus à droite, mais en fait, ça peut être la Beauce. Peut-être qu’on devrait parler d’un mystère Chaudière-Appalaches.»
—  Jean-François Daoust, professeur à l’école de politique appliquée de l’Université de Sherbrooke
Résumé

Locaux vacants: le Groupe Mach est au travail

Par Chloé Pouliot, Le Soleil et Émilie Pelletier, Le Soleil

9 janvier 2025 à 17h29|

Mis à jour le9 janvier 2025 à 18h01

Nombre d’immeubles sur la rue Saint-Joseph Est, principalement entre les rues Saint-Dominique et de la Couronne, appartiennent au Groupe Mach. (Frédéric Matte/Le Soleil)

L’un des plus importants propriétaires d’édifices sur la rue Saint-Joseph Est réplique. Il est loin de se tourner les pouces lorsqu’il est question de dénicher du sang neuf pour ses locaux vacants.


Mercredi soir, Le Soleil a révélé que le magasin de plein air La Cordée mettra la clé sous la porte dès les premiers jours de février.

Ce vaste espace commercial fait partie du portefeuille du Groupe Mach.

Dans un échange de courriels, Sylvie Rousseau, directrice Marketing et communications, confirme que les démarches pour trouver un nouvel occupant ont déjà été amorcées.

«Plusieurs manifestations d’intérêt ont été reçues», affirme-t-elle. Il est toutefois trop tôt pour divulguer l’identité des candidats potentiels.

Le local qui sera vacant dès les premiers jours de février se situe à l’angle des rues de la Couronne et Saint-Joseph Est. (Frédéric Matte/Le Soleil)

Reste qu’il ne s’agit pas de l’unique local inoccupé du développeur immobilier dans le secteur. Quelques-uns de ses espaces, dont l’ancien magasin Laliberté qui accueille des boutiques éphémères, n’ont toujours pas trouvé preneur.

Le Groupe Mach soutient qu’il travaille «activement pour attirer de nouveaux locataires dans ses espaces commerciaux».

Une vague de changements

Ce dernier reconnaît toutefois que «le quartier traverse une période de changements importants».

«Nous sommes bien conscients des défis, notamment de l’itinérance qui peut influencer l’attractivité de certains lieux.»

— Sylvie Rousseau, directrice Marketing et communications du Groupe Mach

Le géant immobilier basé à Montréal dit vouloir être partie prenante de la solution.



«C’est un problème que nous abordons de manière constructive, en collaborant étroitement avec la Ville pour sécuriser le secteur et améliorer la qualité de vie», assure la directrice des communications.

Le Groupe Mach est également propriétaire de l’édifice abritant le magasin de jouets Benjo, qui cessera ses activités d’ici la fin du mois. (Frédéric Matte/Le Soleil)

Ces locaux vacants n’inquiètent pas outre mesure. La santé financière du Groupe Mach dirigé par Vincent Chiara n’est pas menacée.

«Les espaces temporairement inoccupés n’ont aucun impact négatif à long terme sur nos projets. Le marché immobilier commercial continue d’évoluer», met de l’avant Mme Rousseau.

Un regard positif


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«Minuit et une» pour Saint-Roch

En réaction aux reportages dressant le portrait d’un certain déclin commercial dans Saint-Roch ces derniers jours, des entrepreneurs ont par ailleurs tenu à réitérer leur attachement pour leur quartier sur les réseaux sociaux.



Parmi eux, Sébastien Vachon, fondateur de Korem, a partagé que son entreprise d’expertise en revente et intégration de données et logiciels géospatiaux, installée sur la rue Saint-Vallier Est, «croit au quartier Saint-Roch qui offre un lieu dynamique à ses 100 employés».

«Nous venons de prolonger notre bail sans couper la superficie de nos bureaux. Nous sommes là pour rester.»

— Sébastien Vachon, fondateur de Korem

Une publication repartagée par Francis Lessard à la direction de Graph Synergie et Livya (immobilier) prédit dénombrer une centaine d’employés dans quatre ans dans ses locaux du boulevard Charest Est.

«Nous aussi croyons à l’importance de rester dans le quartier Saint-Roch», a-t-il écrit.

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Résumé

Claude Villeneuve affrontera Marchand

Par Émilie Pelletier, Le Soleil

13 janvier 2025 à 04h00|

Mis à jour le13 janvier 2025 à 07h28

Claude Villeneuve lors d’une entrevue de mi-mandat en novembre 2023. (Yan Doublet/Archives Le Soleil)

C’était de plus en plus un secret de Polichinelle, mais l’actuel chef de l’opposition officielle à la Ville de Québec, Claude Villeneuve, affrontera bel et bien Bruno Marchand pour devenir maire aux prochaines élections municipales.


Après des mois d’hésitation, Claude Villeneuve en fera l’annonce officielle ces prochains jours, selon les informations du Soleil.

Il n’était jusqu’ici pas acquis que l’actuel chef de Québec d’abord, parti de l’opposition officielle à l’hôtel de ville de Québec, serait le candidat à la mairie pour son équipe. Au printemps 2024, la formation politique avait d’ailleurs modifié ses statuts et règlements hérités de l’ancienne Équipe Labeaume, pour y inscrire que le chef sortant ne serait dorénavant plus automatiquement le candidat à la mairie.



Préoccupé par la conciliation travail-famille, Claude Villeneuve disait devoir réfléchir sérieusement avant de faire le saut parmi les aspirants à la mairie, lui qui est père de deux fillettes en bas âge. L’élu municipal avait toujours laissé la porte ouverte à une candidature externe pour prendre sa place comme chef et candidat à la mairie.

Or, depuis, sa pensée s’est précisée et il fera bel et bien le saut, selon nos informations.

Joint vendredi, M. Villeneuve n’a pas souhaité confirmer les informations du Soleil.

Question sondage

Claude Villeneuve peut-il battre Bruno Marchand?

Mais déjà vendredi matin, le principal intéressé avait largement ouvert la porte en entrevue sur les ondes de BLVD 102,1, évitant cependant de le confirmer.

L’annonce prévue ces prochains jours ne serait alors qu’une formalité pour le chef qui souhaiterait être entouré de toute son équipe.

Première fois

Il s’agira d’une première campagne électorale à la mairie pour Claude Villeneuve.

Élu pour un premier mandat en 2021 comme conseiller municipal de Maizerets—Lairet, il avait été nommé chef du parti Québec d’abord — anciennement Équipe Marie-Josée Savard — après la défaite de la dauphine de l’ex-maire Régis Labeaume.



Dans le présent mandat, l’adversaire politique de Bruno Marchand s’est souvent montré critique du maire sur le plan économique, faisant de ce dossier l’un de ses principaux chevaux de bataille.

Il a aussi plusieurs fois pris la parole pour discuter de l’itinérance et de la situation commerciale actuelle dans le quartier Saint-Roch, tout en se présentant comme un «allié critique» du projet de tramway.

Malgré ses citations colorées, le chef de l’opposition officielle accuse un déficit de notoriété qu’il a déjà admis, à la lumière de sondages publiés ces derniers mois. En septembre, plus de la moitié des répondants à un coup de sonde Léger publié dans Le Journal de Québec disait ne pas le connaître.

Ancien chroniqueur au Journal de Québec, Claude Villeneuve est issu des rangs péquistes, où il a été conseiller et rédacteur de discours pour la première ministre Pauline Marois.

Forces en présence

Claude Villeneuve est le troisième candidat à confirmer sa présence sur les rangs pour accéder à la tête de la Ville de Québec en vue des prochaines élections municipales, en novembre 2025.



Avant lui, le maire Bruno Marchand avait confirmé dès le début 2024 son intention de briguer la mairie pour un second mandat.


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Le Soleil - Rencontre avec le maire Bruno Marchand dans la salle de l’exécutif de l’Hôtel de ville de Québec - 11 janvier 2024 - Photo Caroline Grégoire

Seule élue de son parti au conseil municipal, la cheffe de Transition Québec, Jackie Smith, s’est elle aussi inscrite dans la mêlée comme prétendante à la mairie.

Quant à lui, Patrick Paquet, chef non élu de la deuxième opposition (Équipe Priorité Québec) n’a pas encore fait connaître ses intentions. L’ancien conseiller municipal de Neufchâtel—Lebourgneuf a toujours laissé entendre qu’il pourrait céder sa place à une grosse pointure, — idéalement féminine — si sa formation parvenait à en dénicher une.

Le nouveau parti municipal Respect Citoyens fait aussi partie des forces en présence, même si son chef intérimaire Marc Roussin compte céder sa place pour les élections. Une course à la chefferie pourrait être lancée en février advenant plusieurs candidatures, mais pour l’instant, seul Stéphane Lachance, membre fondateur du parti, a démontré de l’intérêt. La possibilité de fusionner avec l’autre parti anti-tramway, Équipe Priorité Québec, flottait aussi dans l’air en décembre dernier.

Autant Québec d’abord qu’Équipe Priorité Québec et Respect Citoyens ont confirmé à un moment ou à un autre avoir eu des discussions avec l’ancien ministre libéral Sam Hamad pour les représenter, lui qui laisse planer la possibilité de se porter candidat à la mairie depuis plusieurs mois déjà sans toutefois le confirmer officiellement.