Wow just like the Sagrada Familia
Hopefully not as long
Disons que ces travaux se justifient sur le plan économique, aussi environnemental et certainement au niveau touristique. L’Oratoire St-Joseph est un monument religieux de grande importance patrimoniale pour Montréal. Il est indéniablement un attrait pour la métropole et attire 2 millions de visiteurs et de pèlerins annuellement. https://www.mtl.org/fr/quoi-faire/patrimoine-et-architecture/l-oratoire-saint-joseph-du-mont-royal
Nouvelle sculpture dévoilée sur la terrasse de l’Oratoire. Et elle m’apparaît magnifique !
Malheureusement, elle ne serait que temporairement à Montréal…, puisqu’elle déménagerait l’an prochain à Toronto…
Une sculpture en l’honneur des migrants à l’oratoire Saint-Joseph
Le père Michael DeLaney et l’artiste Timothy P. Schmalz devant sa sculpture, “Angels Unawares”. | Photo: Gracieuseté de l’Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal.
Journal Métro | CÔTE-DES-NEIGES & NDG | Nicolas Monet | 4 novembre 2022 à 9h49
Une sculpture de bronze en hommage aux migrants et aux réfugiés a été dévoilée à l’oratoire Saint-Joseph-du-Mont-Royal dans l’après-midi du 3 novembre.
L’œuvre, intitulée Angels Unawares [NDLR: «Anges inconscients»], a été réalisée par l’artiste ontarien Timothy P. Schmalz.
Elle dépeint un groupe d’origines diverses, entassé sur un bateau. «Toute l’humanité est réunie sur un même bateau dans ce voyage de la vie», précise M. Schmalz.
Des ailes d’ange émergent du centre de la foule hétéroclite, ce qui représente la présence du sacré dans chacun des 140 femmes, hommes et enfants qui la compose, selon le sculpteur.
C’est presque un collage de différentes expériences que je crois qu’un migrant vivrait en quittant sa maison. Oui, il y a de l’espoir, mais il y a aussi du désespoir. Il y a la perte, mais il y a aussi l’optimisme absolu.
Timothy P. Schmalz
L’imposante statue pèse 3,5 tonnes et mesure 6 mètres de longueur sur 3,6 mètres de hauteur.
L’œuvre, que M. Schmalz considère comme une «prière visuelle», a été à l’origine commandée par le Vatican. Celle qui se retrouve à l’oratoire est une réplique de l’œuvre initiale, qui se trouve à la basilique Saint-Pierre de Rome.
La sculpture Angels Unawares sur la terrasse de l’oratoire Saint-Joseph.
Un symbole de la diversité montréalaise
Le recteur de l’oratoire Saint-Joseph, le père Michael DeLaney, se réjouit d’accueillir Angels Unawares.
La cause des migrants et des réfugiés a pour lui «le sens le plus profond», explique-t-il, ayant souvent travaillé avec ces derniers, notamment des Cubains à Miami ainsi que des Serbes et des Croates en Autriche.
«Des personnes qui ont quitté leur patrie pour diverses raisons, souvent pas par choix, et qui recherchent une vie nouvelle et meilleure, avec une promesse d’espoir, de paix et de sécurité», a d’ailleurs souligné le père de DeLaney quant aux réfugiés, dans son discours au moment du dévoilement de la statue.
En outre, il note que la présence de la sculpture à Montréal, et plus spécifiquement dans le quartier Côte-des-Neiges, est très symbolique, considérant leur grande diversité culturelle.
L’homme d’Église espère que tous les citoyens et citoyennes, peu importe leurs croyances, viendront admirer l’œuvre.
Celle-ci restera un an sur la terrasse de l’oratoire, avant d’être déménagée à Toronto.
Oh wow Elle est Jolie. Elle va être permanante à Toronto?
La fascinante histoire du carillon de l’Oratoire
PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE
Les cloches du carillon de l’oratoire Saint-Joseph ont été restaurées en France au cours des trois dernières années. Elles sont de retour à Montréal.
Il y a 11 carillons de niveau international au Canada, mais seulement un au Québec. Il se trouve à l’oratoire Saint-Joseph. Si je vous en parle, c’est que ses 56 cloches viennent d’effectuer un voyage en France d’où elles sont revenues plus étincelantes que jamais.
Publié à 11h30
Cette cure de rajeunissement était nécessaire après leurs 68 ans d’existence. Les aléas de nos saisons les avaient abîmées. Leur sonorité s’en trouvait altérée. Elles ont donc été envoyées à la fonderie Paccard, à Annecy-le-Vieux, une maison française qui existe depuis 1796 et qui a conçu l’ensemble du carillon au début des années 1950.
Ces cloches ont une histoire fascinante. Je dirais même qu’elles ont quelque chose de légendaire. Il faut savoir qu’elles étaient d’abord destinées à la tour Eiffel. Les raisons pour lesquelles elles n’ont pas été installées dans la célèbre structure métallique demeurent aujourd’hui nébuleuses.
PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE
Cette cure de rajeunissement était nécessaire après leurs 68 ans d’existence.
C’est pourquoi je suis allé fouiller dans les archives du journal Le Monde pour y apprendre qu’en 1952, un groupe nommé Les amis de la cloche a milité pour l’ajout d’un carillon dans la tour Eiffel. Sa démarche était appuyée par le Dr Véricourt, un conseiller municipal. Mais dans le numéro du 11 juin 1952, on apprend que « le carillon de la tour Eiffel n’est pas près d’être installé ».
On invoque alors des « raisons techniques ». À force de lire sur le sujet, j’ai compris que des tests sonores ont démontré que les doux sons du carillon parvenaient très mal aux visiteurs du Champ-de-Mars, les bruits ambiants de Paris causés par les véhicules de toutes sortes brisant la magie et gâchant l’effet escompté.
Les cloches ont donc sommeillé quelques mois en France jusqu’à ce que des dévots québécois aient l’idée « d’emprunter » temporairement le carillon afin de souligner le 50e anniversaire de l’oratoire Saint-Joseph. Une entente fut prise et le carillon de 11 000 kg a été livré chez nous à la fin de l’année 1954.
3/3
Une cérémonie destinée à bénir les cloches a eu lieu le dimanche 27 février 1955. C’est évidemment le cardinal Léger, entouré de 10 évêques, qui a eu cet honneur. Tous les journaux de l’époque, La Presse en tête, ont fait grand bruit de cet évènement. Les concerts de carillons furent très courus cet été-là.
Il semble que l’ensemble des 56 cloches n’était pas complet lors de son arrivée. Le 13 avril 1955, il est question d’une autre bénédiction de cloche, celle de la 52e (fa dièse de la troisième octave) et de la 53e (sol dièse de la troisième octave). En septembre, ce fut au tour de la 55e cloche d’être aspergée d’eau bénite.
Un campanile temporaire a été bâti au pied de l’Oratoire pour accueillir le carillon. Les Montréalais et les nombreux visiteurs ont rapidement succombé au charme de cet instrument rare et intrigant. Précisons que les cloches d’un carillon ne bougent pas. Les sons sont créés par des battants (tiges) qui frappent les cloches. Le carilloniste active ces battants en poussant vers le bas des leviers et en utilisant un pédalier.
PHOTO FOURNIE PAR L’ORATOIRE SAINT-JOSEPH
Inauguration du carillon, le 15 mai 1955
Rapidement, des donateurs se sont rassemblés dans le but de faire l’achat du carillon. Des mécènes (pompeusement identifiés dans les journaux) ont fait l’acquisition de certaines cloches, donnant leur nom à celles-ci. C’est ainsi que l’oratoire Saint-Joseph est devenu propriétaire de ce carillon qui fait aujourd’hui partie de notre patrimoine.
Tradition oblige, les cloches restaurées à coups de « plusieurs centaines de milliers de dollars » ont été bénies samedi. Elles devront toutefois patienter dans des caisses jusqu’à l’automne avant d’être installées dans un nouveau campanile d’une modernité certaine. La structure de verre qui protégera les cloches fait partie des vastes travaux qui sont effectués sur les terrains de l’Oratoire depuis 2018.
PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE
De gauche à droite : Andrée-Anne Doane, carilloniste titulaire de l’oratoire Saint-Joseph, et Céline Barbeau, directrice des communications de l’Oratoire
La restauration des cloches est un jalon important des travaux. Ceux-ci avancent bien. Nous espérons terminer le tout avant l’hiver.
Céline Barbeau, directrice des communications de l’oratoire Saint-Joseph
Les anciennes cloches auront bientôt de nouvelles sœurs. En effet, on a retrouvé deux cloches ici et on en a fait fabriquer quatre autres. « Je vais maintenant jouer sur 62 cloches, dit fièrement Anne-Andrée Doane. Un carilloniste dispose d’octaves devant lui, comme un clavier. On peut jouer à quatre mains, ce qui donne de beaux effets. »
Claude Aubin a été carilloniste titulaire de 1974 à 2009. C’est lui qui a formé Andrée-Anne Doane. Cette dernière a eu la chance de parfaire sa formation avec la carilloniste du parlement d’Ottawa.
1/7
Celle qui a fait partie des chœurs de l’Oratoire alors qu’elle était plus jeune offre deux concerts de carillon par jour (du mercredi au dimanche). Elle est en train de former l’un de ses fils, étudiant à l’école Vincent-d’Indy. « Il pourra me remplacer de temps en temps », dit-elle.
Ceux qui se demandent s’il existe des restrictions quant au choix des pièces qui sont jouées à l’Oratoire, sachez que chaque carilloniste possède son propre répertoire. « Oui, il y a de la musique sacrée, mais aussi des œuvres classiques, dit Andrée-Anne Doane. Et puis, je m’offre quelques fantaisies. À l’Halloween, il m’est arrivé de faire le thème du Fantôme de l’opéra. »
En attendant de retrouver son clavier, qui sera installé dans le campanile sous le carillon, Andrée-Anne Doane va continuer d’offrir ses concerts quotidiens à partir d’un clavier numérique. « Le son est presque identique, dit-il. C’est à s’y méprendre. Mais ce n’est pas comme jouer sur un vrai carillon. »
Ils semblent vouloir garder le chemin en serpentin qui enlaidit l’axe sacré
Si je me fie à votre photo, il semble à première vue que la route en asphalte ait été remplacée par un chemin plus étroit en béton. Ce serait déjà une amélioration par rapport à l’original, mais j’aurais préféré qu’on retire complètement ce chemin d’accès qui jure avec la symétrie de l’ensemble, surtout que l’accès universel sera assuré par le nouveau pavillon d’accueil.
On vient appauvrir considérablement l’esthétisme de cet axe monumental. À la rigueur, un chemin en image miroir de l’autre côté des escaliers serait moins asymétrique et laid.
Tant mieux si je me trompe, mais j’ai l’impression qu’on va passer à côté d’une belle occasion.
Restored bells at St. Joseph’s Oratory to toll again
The 56 bells, which had turned green because of oxidation, were sent in 2019 to France to be polished. “They’re magnificent now.”
La Presse Canadienne
Coralie Laplante
Published Jun 17, 2023 • 2 minute read
St. Joseph’s Oratory is a commanding presence on Mount Royal. PHOTO BY JOHN KENNEY /Montreal Gazette
The carillon bells of St. Joseph’s Oratory will be ringing soon atop Mount Royal after being sent to France for restoration in 2019.
They were blessed at a ceremony on Saturday morning and will be displayed in front of the oratory crypt until Sunday for the public to view. They will then be hoisted into the campanile, or bell tower, of the oratory’s new reception pavilion on Monday.
“Maybe it’ll take me a while to adapt to the new instrument, but above all, it’ll be a joy to rediscover the carillon, only much better,” says Andrée-Anne Doane, the oratory’s titular carillonist, in an interview.
In 2019, the 56 bells of St. Joseph’s Oratory were sent to the Paccard Foundry in France, where the bells were originally manufactured. In addition to restoring the bells, which had taken on a greenish colour because of oxidation, six new bells were designed and delivered to St. Joseph’s Oratory.
The oratory’s carillon will now be equipped with 62 bells, enabling the carillonist to add new notes to her repertoire, as each bell has its own particular sound.
“Each foundry has its own stamp. We restored them. They had taken on a green colour with oxidation, which had affected the sound a little. They were polished. They’re magnificent now. You can really see the colour of the bronze,” Doane explained.
A carillon is played with a pedalboard and a keyboard, similar to a piano, made up of wood sticks connected to the bells with string. The keyboard and strings have also been restored.
“The return of the bells represents an important moment in the evolution of the major development project currently underway at the oratory. It’s an event in itself to have these bells back after all these years,” says Celine Barbeau, communications director at St. Joseph’s Oratory.
“Why did it take so many years to complete the restoration of the instrument? Firstly, because the bells were badly oxidized, and casting the six new bells is a long job,” Barbeau said.
“Secondly, once the bells had been re-polished, it was necessary to ensure their sound was up to scratch. Finally, the bells had to be shipped from France to the Old Port of Montreal, which represents an additional delay. A special crane was needed to place the bells on an ocean liner,” Barbeau added.
The 62 bells weigh 19,000 kilograms. The largest bell in the carillon, called the bourdon, weighs 3,600 kgs, while the smallest weighs only five.
The carillon at St. Joseph’s Oratory was originally intended for the Eiffel Tower. It was loaned to Oratory for its 50th anniversary in 1955, before being donated.
Restauré, le carillon de l’Oratoire revient au pays, plus brillant et imposant
Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal
Le père Claude Grou et le père Mario Lachapelle bénissent les cloches de l’Oratoire.
Lise Denis
18 juin 2023
Société
Les cloches de l’Oratoire Saint-Joseph résonneront différemment. « Élément patrimonial », le carillon est de retour à Montréal, plus imposant que jamais, après avoir passé plus de trois ans en France pour être restauré.
Comme le veut la tradition, les cloches, qui ont retrouvé de leur brillant, ont été bénies samedi matin lors d’une cérémonie.
Acheminées par bateau, elles pèsent au total près de 19 tonnes. Elles sont exposées jusqu’à dimanche sur le parvis de la crypte de l’Oratoire, et seront ensuite installées dans le nouveau campanile, encore en construction. Les visiteurs devront toutefois patienter jusqu’en automne pour entendre le nouveau carillon.
Il y a onze carillons au Canada, mais seulement un au Québec. « Pour nous, la valeur, elle est patrimoniale », insiste Mme Barbeau, qui indique de façon secondaire qu’un « carillon comme ça peut valoir plus d’un million de dollars ». « C’est unique, c’est un instrument d’exception et il y en a peu. »
Initialement conçues pour être installées à la tour Eiffel, les cloches ont d’abord été prêtées à l’Oratoire, avant de lui être offertes en 1955, à l’occasion de son 50e anniversaire, par des donateurs. Leurs noms sont d’ailleurs inscrits sur certaines cloches.
Mais avec le temps et les intempéries, le métal s’est oxydé, prenant alors une couleur verdâtre. Une altération pas seulement esthétique, puisque la corrosion altère la qualité du son, explique la directrice des communications de l’Oratoire, Céline Barbeau.
Photo: Archives Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal
L’inauguration du carillon en 1955
Pour « retrouver leur son pur d’origine », les cloches ont été envoyées en France en octobre 2019, à la Fonderie Paccard, là où elles avaient été initialement fabriquées. La fonderie d’Annecy-le-Vieux, qui existe depuis 1796, a restauré les cloches, mais aussi remplacé le clavier et les fils de l’instrument.
Les cloches d’un carillon ne bougent pas. Elles sont cognées par un battant, actionné par la frappe du musicien sur le clavier, semblable à celui d’un piano.
Six nouvelles cloches ont également été fondues, dont un bourdon, une cloche au son grave qui pèse à elle seule 3,6 tonnes.
Chaque cloche émettant une note différente, cet ajout permettra « d’agrandir le répertoire », se réjouit la carilloniste Andrée-Anne Doane. Titulaire depuis 2009, elle donne des récitals deux fois par jour, du mercredi au dimanche, sur un carillon électronique en attendant que l’instrument traditionnel soit installé. « Le carillon, les cloches, ça rythme la vie des gens. […] Ça vient donner un bel atout à l’Oratoire Saint-Joseph. »
Avec 62 cloches, il est désormais le plus gros carillon du Canada, à égalité avec celui situé en Colombie-Britannique, remarque Mme Doane.
Photo: Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal
Sur cette simulation des chantiers prévus à l’Oratoire, la tour, à droite, constituera le nouveau clocher, au sommet duquel seront hissées les cloches.
Un processus minutieux
Ce travail de « douze à dix-huit mois » a été ponctué de « plusieurs péripéties, notamment la COVID-19 » , raconte Cyril Paccard, qui oeuvre pour la fonderie familiale depuis 1995.
Le processus est particulièrement minutieux. Les dessins, par exemple, ne peuvƒent pas excéder deux à trois millimètres, au risque d’affecter la qualité du son et de déséquilibrer la cloche, explique M. Paccard, qui a fait le déplacement à Montréal pour superviser l’installation de l’instrument. L’alliage est lui aussi précis : 78 % de cuivre et 22 % d’étain.
Il faut également s’assurer de respecter le style des « petites soeurs » en coulant de nouvelles cloches. Mais se conformer à l’apparence des premières cloches construites il y a près de 70 ans n’était pas le plus gros défi, car « les techniques de fonderie, elles, ont peu évolué ».
Photo: Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal
Les cloches avant leur restauration
L’étape la plus « importante » est de donner à la cloche sa note définitive, explique l’ingénieur. Plus la cloche est grosse, plus le son est grave. Les derniers ajustements se font à l’aide d’un « couteau pour enlever du métal », permettant d’ajuster les différentes harmoniques, distinctives des fonderies.
« C’est important de retourner chez le fondeur original, puisqu’on doit garder une certaine harmonie entre les cloches, et chaque fondeur a son timbre particulier », renchérit Mme Barbeau. « De toute façon, il n’y a pas de fondeur au Canada », ajoute-t-elle.
Si les carillonistes sont peu nombreux — il n’y en a que trois actifs au Québec, dont Mme Doane et son fils —, les fondeurs se font d’autant plus rares.
En France, il n’y a plus que deux fonderies, déplore M. Paccard. Celle de sa famille, et une à Villedieu-les-Poêles, en Normandie.
Photos de cette après-midi avant le concert de Noël. Je n’ai pas pus m’avancer plus car il y avait des gardiens. Mais là structure est quasi finie, j’espère que le tous sera près pour cette été. Il manque la finition extérieure.
Update sur ce projet que j’aime tant! Je suis allée a l’oratoire et j’ai pu prendre plus de photos sur la structure.
Premier point important: la structure est prête mais manque la finition. J’aime beaucoup le fait que la monté a l’oratoire sera exclusivement piétonne. Le passage en voitures ne seront plus permis. La route qui montait jusqu’en haut a était refait plus petit. Autre point intéressant est l’ajout des bornes électriques dans le stationnement. J’en au compté 8 , c’est mieux que rien! Il manque par contre toute une partie du stationnement qui est encore en réfection. Peut être avec plus de bornes pour les voitures électriques…
Merci pour toutes ces photos et le suivi. J’ai visité l’oratoire St-Joseph des dizaines de fois pendant mon enfance et adolescence, non pas par piété mais par intérêt architectural notamment par son design moderne et ses dimensions gigantesques.
J’aime particulièrement les grands édifices religieux car ils sont généralement des chefs-d’oeuvre technologiques pour leur époque et de véritables creusets culturels et historiques incontournables. En 1975 j’ai visité St-Pierre-de-Rome pour les mêmes raisons et en garde un souvenir impérissable. Le but principal de ma visite était justement de monter dans le dôme jusqu’à la lanterne au sommet pour admirer la vue unique sur la Place St-Pierre et la ville tout autour.
J’ai d’ailleurs fait beaucoup de ce genre de visites dans la plupart des grandes villes que j’ai eu le plaisir de connaitre, dont St-Paul à Londres aussi jusqu’à la lanterne et bien d’autres.
C’est pourquoi le clou du chantier pour moi sera sans conteste l’éventuel accès à la lanterne du dôme de l’Oratoire. Un projet couteux il va sans dire, mais qui pourrait être rentable financièrement sur le long terme et certainement avantageux pour augmenter la renommée mondiale de cet édifice emblématique de Montréal.
Voilà ce que j’ai trouvé sur le sujet: 2023 – 2024
-
La beauté d’un dôme grandiose et la plus haute fenêtre sur Montréal
- Création d’un espace unique d’exposition et d’interprétation à découvrir par un parcours en spirale à l’intérieur du dôme
- Aménagement d’une tour d’observation au sommet du dôme qui vient concrétiser la vision des bâtisseurs de la basilique; une vue à 360° sur la ville et la région
- Réaménagement complet du Musée pour être plus polyvalent, plus lumineux et mieux en mesure de mettre en valeur sa collection de près de 30 000 œuvres.