MaryRobert - 2*22 étages (2021)

Va vraiment falloir que la ville pousse pour des meilleurs concepts de basilaire, car c’est avec eux qu’on aura une bonne présence sur rue et un meilleur environnement bâti. Je seconde, les 2 premiers étages sont complètements ratés, visuellement ordinaire, sans indication claire et vite comme ça, on ne sait même pas qu’il y a des commerces et où se situe l’entrée résidentielle.

Une change qu’on a pas eu 2 boites à céréales comme sur Peel, Devimco aurait du pousser davantage la géométrie particulière avec les 2 premiers étages, au lieu de remplir le lot au maximum.

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source: Centris Condos à vendre à Montréal (Le Sud-Ouest) - Centris.ca

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Ils sont en train de terminer le grand local coin Peel et Wellington et le contracteur sur place me dit que ce sera un restaurant Indien. Cela reste à confirmer mais il me semblait assez sur de lui-même. Si c’est le cas, ce resto sera un bel ajout pour le secteur et pour ce coin de rue.

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J’aime! J’espère qu’ils auront un comptoir pour emporter.

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C’est un India Rosa qui a un emplacement sur l’avenue du Mont-Royal

Source : Groupe Facebook Nous sommes des citoyens du Griffintown

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https://www.tvanouvelles.ca/2022/03/04/affichage-des-ecrans-geants-qui-derangent-a-montreal

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Il est vrai que l’écran géant est assez éclairant et surprenant. Je le verrai plus sur Sainte-Catherine, dans le QDS ou sur Saint-Laurent. Par contre l’enseigne Bouclair est très belle.

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Quelques photos pendant une visite chez un ami qui habite le projet, 31 mars 2022

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Merci beaucoup!

La dernière photo devrait se retrouver aussi dans Skyline Montréal!

Bravo et incroyable!!

Je reçois de nouveau like A Midi. Désolé!

Source: Centris

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Devimco « inaugure » officiellement l’oeuvre d’art avec ce communiqué et une vidéo

Un phare sur le fleuve - Une œuvre d’art de 21 étages dans le projet MaryRobert Condominiums English

NOUVELLES FOURNIES PAR
Groupe Devimco
30 mai, 2023, 10:26 ET

MONTRÉAL, le 30 mai 2023 /CNW/ - - Groupe Devimco est fier de présenter l’œuvre d’art de 21 étages réalisée par l’artiste René Derouin dans son projet mixte MaryRobert Condominiums, situé dans Griffintown, à l’angle des rues Peel et Wellington. L’intégration d’une œuvre de cette envergure au sein d’un projet immobilier est une première au Québec.

Un phare sur le fleuve, une oeuvre de René Derouin

La réalisation de l’œuvre Un phare sur le fleuve est le fruit d’un long parcours de trois ans et demi, de la réalisation du dessin, au développement du concept et à l’application des 2 350 modules en verre de 4 pieds sur 4 pieds sur l’ensemble des façades de balcons de l’immeuble. Parfois abstraits, les modules proposent divers éléments d’art visuel qui, lorsqu’on les regarde avec une vue d’ensemble, forment un paysage narratif rappelant le rapport au fleuve de son créateur René Derouin. Soulignant l’entrée dans la ville de Montréal, l’œuvre illustre la richesse et la diversité de la métropole dans toute sa splendeur.

Rappelons que Groupe Devimco avait lancé, en mars 2018, un concours sur invitation auprès d’artistes québécois de renom pour l’élaboration d’une proposition artistique qui s’intégrerait aux quatre faces des deux tours de son projet signature. C’est l’artiste René Derouin qui avait été retenu pour réaliser cette œuvre emblématique.

Au fil d’une carrière prolifique s’étalant sur plus de cinq décennies, l’artiste multidisciplinaire René Derouin s’est forgé une renommée internationale. Ses œuvres ont été exposées dans plusieurs musées au Québec, au Canada, aux États-Unis, au Venezuela, en Australie et au Japon. Il a reçu plusieurs honneurs, dont le Prix Paul-Émile-Borduas, l’Ordre des arts et des lettres du Québec, l’Ordre du Canada, l’Ordre national du Québec, l’Ordre de l’Aigle aztèque, en plus d’avoir été nommé Artiste pour la paix.

« Nous croyons fermement que le développement immobilier et architectural vient avec une responsabilité sociale énorme. L’œuvre de René Derouin s’inscrit parfaitement dans le paysage de la métropole et nous sommes particulièrement heureux d’offrir aux citoyens une œuvre dont ils peuvent être fiers », a déclaré James Goulet, associé du Groupe Devimco.

« La conception de cette œuvre est devenue pour moi une véritable obsession. Comme créateur, signer une œuvre de cette ampleur chez soi, cela n’arrive qu’une fois dans une vie. Le territoire nordique est porteur de plusieurs mémoires historiques, Un phare sur le fleuve renvoie à cette richesse et à notre histoire. C’est un privilège pour moi de participer au legs culturel de Montréal et de sa mémoire », a souligné l’artiste René Derouin.

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Phare sur le fleuve | La fable urbaine de René Derouin


PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE
L’artiste René Derouin a conçu une œuvre murale qui est imprimée sur les balcons de l’immense complexe MaryRobert dans le quartier Griffintown, à Montréal.

Les passagers du REM qui vont et viennent entre Montréal et la Rive-Sud sont devenus des spectateurs du Phare sur le fleuve, cette magnifique fresque intégrée aux 500 balcons d’un complexe de Griffintown. Espérons qu’ils lèvent parfois les yeux vers les fleurs, les oiseaux et les poissons de la fable de René Derouin.

Mis à jour hier à 11h00
Texte : Stéphanie Bérubé
Photos : Hugo-Sébastien Aubert
LA PRESSE

« J’étais vraiment emballé par l’audace de ce projet-là », confie René Derouin, au milieu des balcons où sont reproduites quatre de ses œuvres murales, dans un complexe immobilier. « C’est un des projets qui m’ont demandé le plus de réflexion, dit l’artiste, qui en a pourtant vu d’autres. Ça m’a fait évoluer dans mon travail, ça m’a influencé. Parce que dans ça, il y a beaucoup de ce que j’ai fait ailleurs, avant. »

Les quatre murales se déclinent sur les façades. Chacune a son paysage, mais l’histoire est la même. On y parle du fleuve, de ses habitants et de leur migration. Chacun des propriétaires a une œuvre unique et un point de vue unique sur le projet.

Quand tu es seul dans ton condo, il n’y a que toi face à ce qui t’est présenté. C’est comme si tu avais un tableau chez toi.

— L’artiste René Derouin

Un phare sur le fleuve a demandé un travail colossal. L’artiste a d’abord réalisé l’œuvre sur papier, puis elle a été découpée en 2247 petits morceaux de verre trempé, d’environ 4x4 pieds. Chacun des panneaux de verre contient une partie de l’histoire.

« Nous nous sommes assurés de trouver une façon de faire pour que l’œuvre ne se dégrade pas, que ça soit imprimé dans le verre », précise Marco Fontaine, vice-président développement résidentiel et marketing du promoteur immobilier Devimco. M. Fontaine faisait partie du jury qui a choisi l’œuvre, il y a quelques années.

Un phare sur le fleuve


PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE
« Il y a plusieurs niveaux à un projet comme celui-là, dit l’artiste. Il est collectif, dans l’espace urbain. »


PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE
« Je voulais vraiment gagner ce concours », confie René Derouin, sur un balcon du complexe. L’artiste octogénaire précise qu’il y avait des plus jeunes qui participaient aussi à ce concours d’art public. Devimco avait sollicité quelques artistes pour qu’ils présentent des projets.


PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE
Une partie de l’œuvre n’est visible que par les résidants, mais la majorité se trouve sur des côtés qui font face aux rues avoisinantes ou aux rails du REM. On voit aussi très bien les images sur les balcons à partir du bassin Peel et de l’autoroute Bonaventure.


PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE
René Derouin explique que la conception a été complexe, car il y avait plusieurs spécifications très précises dans la demande, dont la représentation, d’une quelconque façon, des peuples fondateurs de Montréal.

Bien qu’elle soit douce comme un conte pour enfants, certains clients n’étaient pas enchantés d’avoir une partie de fresque intégrée à leur balcon. Marco Fontaine explique que des propriétaires craignaient qu’ils perdent de la luminosité, ce qui n’est pas vraiment le cas. Au contraire, les animaux et les fleurs donnent un (petit) peu d’intimité aux résidants.

Une flore insaisissable

René Derouin a conçu cette œuvre au Mexique. Il y a un studio qu’il visite tous les ans et c’est là qu’il a élaboré son œuvre, qui est un hommage à la nordicité et à la Flore laurentienne de Marie-Victorin.

« J’ai connu le frère qui a dessiné toute la Flore laurentienne, dans les années 1950 », explique l’artiste qui habite dans les Laurentides et qui travaille avec la nature depuis des décennies.

Je suis surtout intéressé par l’aspect graphique du végétal.

— L’artiste René Derouin

Du bas en haut, la vie s’éveille. Commençant d’abord par la terre, jusqu’au ciel, avec des oiseaux qui s’envolent.

« Je suis un artiste narratif », nous dit René Derouin au milieu de la cour intérieure du complexe, là où deux façades se font face, se répondent. L’artiste est gentil de préciser ce qui est assez évident : son Phare se déploie comme une histoire qu’il nous raconte et qu’on s’approprie, mais qui reste en partie insaisissable puisqu’à moins d’y mettre beaucoup de temps et d’efforts, il est impossible de voir l’intégralité de l’œuvre, présentée sur quatre façades de 21 étages.

QUI EST RENÉ DEROUIN ?

  • Né en 1936 à Montréal, René Derouin est un artiste multidisciplinaire qui vit à Val-David, où il a fondé Les Jardins du précambrien.
  • Il se familiarise avec l’art mural dès les années 1950. Il soutient que ses œuvres sont habitées par celles qui les ont précédées.
  • L’artiste sera à Kyoto en janvier prochain, pour une exposition avec quatre artistes canadiens.
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L’œuvre est peut-être belle mais puisque les parois des murs en arrière-plan sont blanches, son impact visuel est fortement amoindrie. Il faut vraiment y porter attention car autrement, on ne distingue pas grand chose. A partir du REM , je ne sais pas quel effet cela donne. Quelqu’un pourrait essayer de prendre quelques clichés durant le trajet?

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Un message a été fusionné à un sujet existant : IVY Montréal + Hôtel Honeyrose - 35 étages (2023)

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The dark side of the MaryRobert

D’accord avec toi. Un vrai projet de qualité architecturale aurait eu un bien meilleur impact sur l’esthétisme du quartier que la dilution d’une oeuvre que l’on peine à voir et surtout à apprécier.

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Il semble y avoir un enjeu au niveau de l’entretien du revêtement métallique de ce projet de condominiums

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