Festivals à Montréal - Discussion générale et actualités

Il s’agit de l’événement de la rentrée de l’ETS. Jtais senser travailler pour eux, mais j’ai eu d’autres contrats.

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je viens de voir sur la page FB de l’ÉTS

La scène d’Équinox | Festival de musique étudiant se déploie progressivement en vu de vendredi 16 septembre!
Ce festival, une initiative complètement étudiante, a pour objectif de rassembler toutes les communautés universitaires de Montréal.
:tickets: Des billets sont encore disponibles : Équinox Inscription, ven, 16 sept. 2022 à 14:00 | Eventbrite
Si vous souhaitez faire du bénévolat pour le festival, écrivez à repctn@aeets.com :e-mail:
AÉÉTS - Association étudiante de l’ÉTS Équinox

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Les films sont présentés dans différentes salles de cinéma et maisons de la culture

Programmation ici : https://montrealblackfilm.com/

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il s’agit pas d’un festival, mais d’un grand Évènement cycliste en 2026.

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Via les médias sociaux de J-F Savaria: :star_struck:

image J-F Savaria est à Skatepark Van Horn.

Le Festival International de projection mapping de Montréal est en cours! MAPP MTL jusqu’au 25 septembre au coeur du Mile-End et du Quartier des spectacles, Montréal! 📽✨

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On fait quoi avec les quatre successeurs du FFM ?

PHOTO MICHEL GRAVEL, LA PRESSE, ARCHIVES BANQ

Foule dans une salle du Complexe Desjardins lors du Festival des films du monde de 1985

Vincent Brousseau-Pouliot

Vincent Brousseau-Pouliot La Presse

Montréal est une ville de grands évènements. Le Festival de jazz. Les Francos. Juste pour rire, le plus important festival d’humour au monde. Osheaga. L’Omnium Banque Nationale qui accueille les meilleurs joueurs de tennis au monde.

Publié à 5h00

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Mais pas pour le cinéma.

Depuis la belle époque du Festival des films du monde (FFM) de Serge Losique dans les années 1980 et 1990, Montréal ne compte pas de festival de films d’envergure internationale.

Ce n’est pas une critique, c’est un constat.

On ne réécrira pas l’histoire, mais on va la résumer : le FFM s’est fait damer le pion par Toronto dans les années 1990, la gestion du FFM était déficiente, la SODEC et Téléfilm Canada ont retiré leurs billes pour donner sa chance à Spectra en 2005, ce fut un fiasco, le grand cinéphile qu’est Serge Losique a été incapable de passer la main, on a assisté au naufrage au ralenti du FFM, et aucun festival n’a pris la relève.

Après les fiascos FFM et Spectra, la SODEC et Téléfilm Canada ont adopté une nouvelle stratégie : le saupoudrage. Au lieu de donner l’argent du FFM (un million par an) à un seul festival d’envergure, ils l’ont redistribué à tous les autres festivals au Québec.

C’est moins risqué. C’est plus juste pour l’ensemble du Québec.

Mais au lieu d’avoir un grand festival de films, Montréal compte quatre festivals de taille moindre. Ils ont chacun leur spécialité. Mais ils collaborent peu entre eux.

Le Festival du nouveau cinéma (FNC), qui a lieu ces jours-ci, aurait été le meilleur candidat pour succéder au FFM, car c’est le seul festival généraliste. Son potentiel de croissance est toutefois limité, car il a lieu tard dans l’année (et surtout tout de suite après Toronto).

Fantasia est le deuxième festival de films de genre (science-fiction, comédie noire, western, etc.) au monde. Il est très populaire (75 000 entrées), s’adresse à un public plus jeune et a un volet professionnel (rencontres pour des producteurs) très efficace. C’est un beau succès.

Cinemania se spécialise dans le cinéma de la langue française, un beau créneau pour la deuxième ville francophone en importance après Paris.

Les Rendez-vous Québec Cinéma visent à faire découvrir et promouvoir le cinéma québécois, un objectif important. Il est aussi présent dans plusieurs régions.

Grosso modo, nos festivals de films sont financés environ à 30-35 % par des subventions, à 60 % pour les commandites, et le reste par les revenus de billets.

Pourquoi injecte-t-on environ 1,8 million par an de subventions dans nos quatre principaux festivals de films à Montréal ? Pour faire la diffusion et la promotion de notre cinéma. Pour donner à nos films d’auteur une meilleure rampe de lancement, les aider à trouver un public. Certains festivals ont aussi un volet pour l’industrie, pour favoriser les échanges créatifs et commerciaux.

Ce type de subventions coûte cher. Ça revient de 5 $ (Fantasia) à environ 25 $ par billet vendu selon le festival.

Sauf que si vous n’êtes pas américain et que vous voulez avoir une cinématographie nationale, vous devez subventionner votre cinéma de façon importante. La production de films comme la distribution et la promotion. Ce n’est pas un phénomène canadien, tous les pays le font.

Maintenant, on fait quoi avec nos quatre festivals, une formule atypique pour une ville comme Montréal ?

Oubliez l’idée de concurrencer les grands festivals internationaux comme Toronto. On a raté notre coup avec le double fiasco FFM/Spectra dans les années 2000. Ce serait une très mauvaise décision de pomper un million de dollars par an dans une avenue aussi risquée qu’incertaine.

Les forcer à se fusionner ? En pratique, c’est difficilement réalisable, leurs publics étant trop différents.

La SODEC et Téléfilm Canada s’apprêtent à modifier les critères de subventions. On veut ouvrir le financement à des festivals multidisciplinaires. Il y aura donc davantage de concurrence pour les subventions, ce qui est toujours une bonne affaire.

L’industrie du cinéma change rapidement. Les habitudes des cinéphiles sont bouleversées avec les plateformes numériques. Même dans ce contexte, il faut continuer de soutenir nos festivals de films.

Mais pour toucher ce niveau important de subventions, les festivals doivent s’améliorer sur quatre points. Collaborer davantage (ils y gagneraient notamment sur le plan administratif, car ils partagent souvent les mêmes employés à différents moments de l’année). Faire une plus grande place aux séries télé, un créneau en forte expansion (la Berlinale a un imposant volet télé, entre autres). Servir davantage de lieu de rencontres pour développer des liens d’affaires (Fantasia le fait très bien). Et finalement, développer des activités « grand public » pour se rapprocher de plus de cinéphiles.

Le volet grand public est particulièrement important. Depuis deux ans, le FNC présente des projections gratuites en plein air durant le week-end de la fête du Travail. Le mois dernier, 1200 personnes ont vu le film Dune, de Denis Villeneuve, à la belle étoile dans le Quartier des spectacles.

Ce genre d’initiatives grand public aide à justifier le soutien important que reçoivent nos festivals de films.

Festival du nouveau cinéma

5 au 16 octobre 2022

Film d’ouverture : Falcon Lake, de Charlotte Le Bon

Nombre de billets vendus : chiffres non disponibles

Fantasia

14 juillet au 3 août 2022

Film d’ouverture : Polaris, de Kirsten Carthew

Nombre de billets vendus : 75 000 en 2022, 100 000 en 2019

Cinemania

2 au 13 novembre 2022

Film d’ouverture : Chien blanc, d’Anaïs Barbeau-Lavalette

Nombre de billets vendus : 28 000 en 2019

Les Rendez-vous Cinéma Québec

20 au 30 avril 2022

Film d’ouverture : Noémie dit oui, de Geneviève Albert

Nombre de billets vendus : 12 000 (on estime à 550 000 le total d’entrées gratuites et payantes à toutes les activités — pas seulement les films)

Montréal compte aussi d’autres festivals, notamment les Rencontres internationales du documentaire de Montréal, le Festival international du Film Black de Montréal et le Festival international du film pour enfants de Montréal.

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Record d’achalande au Piknic Électronik cette année

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Le Festival Bach Montréal reçoit une aide de 100 000 $ de Québec

Photo: Gracieuseté

Sliman Naciri

12 novembre 2022 à 13h11 - Mis à jour 12 novembre 2022 à 13h13 3 minutes de lecture

Le Festival Bach Montréal -qui se déroulera du 12 novembre au 9 décembre- bénéficiera d’une aide financière de 100 000 $ de Québec, ont annoncé la ministre du Tourisme Caroline Proulx et le ministre de la Culture et des Communications Mathieu Lacombe.

Le ministère du Tourisme accorde au festival une aide de 75 000 $ dans le cadre du programme Aide financière aux festivals et aux événements touristiques, tandis que Le Conseil des arts et des lettres du Québec (qui relève du ministre de la Culture et des Communications) octroie à l’organisme la somme de 25 000 $, par le biais du programme Soutien à la mission.

Créé en 2005, le Festival Bach Montréal rassemble des solistes, des ensembles et des orchestres de renom autour des œuvres du grand compositeur allemand.

Cette année, une programmation de quelque 19 concerts sera à découvrir. Les performances musicales se tiendront dans les plus belles salles de spectacle de la métropole.

«Le Festival Bach Montréal convie la population à découvrir le talent de musiciens d’ici et d’ailleurs et la beauté de la musique classique. Je suis fière que notre gouvernement soutienne ce rendez-vous d’envergure qui donne un accès privilégié à l’œuvre de Bach et qui contribue au tourisme culturel au Québec», a déclaré Caroline Proulx*,* la ministre du Tourisme.

«Le Festival Bach Montréal fait du Québec un endroit de choix où les meilleurs interprètes de musique classique se donnent rendez-vous année après année. La programmation proposée met une fois de plus à l’honneur de grands orchestres, dont l’Orchestre symphonique de Montréal, ainsi que des organistes, des chœurs et des ensembles musicaux venus du Québec, du Canada et de l’étranger. Ils favorisent tous la démocratisation de la culture et son rayonnement», a commenté le ministre de la Culture et des Communications Mathieu Lacombe.

De nombreuses activités en marge de la programmation officielle du Festival seront également proposées dans le cadre de L’Off-Festival Bach telles que des concerts, des répétitions, des discussions et performances d’artistes locaux.

«Le lieu sur le boulevard Saint-Laurent a été choisi et imaginé pour présenter une expérience unique dans un environnement gratuit ainsi que rendre la musique classique accessible à un large public», a déclaré le Cabinet du ministre de la Culture et des Communications et ministre responsable de la Jeunesse.

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Voilà un beau geste du gouvernement qui soutient la culture et cette fois-ci dans sa forme de festival de musique classique.

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Le Festival Triste, c’est «le fun»!


L’affiche de la première édition du Festival Triste. Photo: Gracieuseté Mathieu Larone/Festival Triste

Journal Métro | ARTS ET SPECTACLES | Caroline Bertrand | 23 novembre 2022 à 7h00

Un festival au nom aussi insolite que magnétique fait son apparition dans le foisonnant panorama festivalien de Montréal : le Festival Triste, dont l’édition inaugurale se déroulera du 24 au 26 novembre dans le Mile-End.

Les cofondateur.rice.s Anne-Julie St-Laurent (directrice générale du festival BleuBleu), Maxime Genois (que l’on connaît également comme comédien) et Alice Perron-Savard (qui est directrice de production du festival La Noce) ont puisé allégrement dans la musique, le cinéma, la poésie et la performance afin de concocter cette programmation célébrant la beauté des émotions tristes et le désir de se laisser émouvoir ensemble. Peut-être même aux larmes.

Pour les mélancoliques qui ont envie de s’exposer au pouvoir salvateur des émotions, voici les raisons pour lesquelles une virée au Festival Triste promet d’être réjouissante.

Pour s’émouvoir en groupe

« Le but n’est pas de se morfondre dans des zones fatales, c’est de se rassembler entre festivalier.ère.s, se laisser traverser par la tristesse et en tirer des effets bénéfiques », expose Maxime Genois. Après tout, les œuvres tristes nous mettent en contact avec notre intériorité et peuvent susciter la contemplation, voire l’apaisement, souligne-t-il.

« La tristesse est inévitable et la consommer en toute connaissance de cause peut être sain. Avec l’hiver qui cogne à nos portes, si vous ressentez les blues de novembre, c’est normal et vous n’êtes pas seul », rappelle le comédien, qui invite à se réunir dans un cocon bienveillant et salutaire.

Notons que le festival offre aussi un volet consacré à la santé mentale afin de rappeler les solutions lorsque le moral est bas.

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Pour danser aux Soirées électristes

Le festival propose des volets musicaux: deux soirées réunissant chacune un trio d’artistes ainsi que trois soirées dansantes « électristes », aussi festives que mélancoliques, une riche opposition aux yeux de Maxime.

À ces dernières se produiront Gabriel Rei, dont la musique oscille entre calme et excitation, le duo torontois See No Stranger, « qui crée quelque chose d’insaisissable et de trouble, mais qui fait néanmoins danser », décrit le cofondateur, ainsi que les complices Xavier Dolan et Catherine Brunet en clôture, sous les pseudonymes Shark Boy et Laval Girl, qui offriront un DJ set rendant hommage aux chansons tirant les larmes, « vulnérabilisantes et à la fois salvatrices », décrit Maxime.


Anders Danielsen Lie et Ingrid Olava dans Oslo, 31 août, deuxième film de la trilogie existentielle Oslo du Norvégien Joachim Trier. Photo fournie par le Festival Triste

Pour se laisser enivrer par le cinéma

Le volet cinématographique du festival, source de fierté chez les organisateur.rice.s, fera (re)découvrir sur grand écran cinq films : Grave of the Fireflies (1988) du Japonais Isao Takahata, Ne croyez surtout pas que je hurle (2019) du Français Frank Beauvais, Secret Sunshine (2007) du Sud-Coréen Lee Chang-dong, Certain Women (2016) de l’États-Unienne Kelly Reichardt ainsi qu’Oslo, 31 août (2011), du Norvégien Joachim Trier.

Coup de cœur partagé d’Anne-Julie et de Maxime, Oslo, 31 août est, selon ce dernier, le chef-d’œuvre, le moment de grâce de Trier dans sa trilogie existentielle Oslo. De beaux moments de cinéma en perspective.

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Pour se laisser bercer par la poésie

La soirée Vagalâme réunira des textes tant classiques que contemporains de poètes distillant spleen et autre tristesse.

Au son du piano de Lysandre Ménard, qui interprétera des pièces de compositeurs classiques, il se pourrait que les huit interprètes récitant des poèmes humectent les regards. La soirée Vagalâme exhale un doux parfum de la soirée extravagante Poésie, sandwichs et autres soirs qui penchent de Loui Mauffette, indique à titre de comparaison Maxime.

Pour se gaver (ou pas) de Rémi sans famille

Proposition résolument excentrique : l’artiste performeur Louis Brousseau tentera de regarder l’intégralité du célèbre dessin animé japonais Rémi sans famille, soit 51 épisodes en près de 24 heures, notoire pour sa trame narrative sombre et misérabiliste. Louis espère partager les mésaventures abyssales de ce jeune protagoniste à l’existence tragique avec un public passager, auquel il volerait ainsi un peu de réconfort. D’ailleurs, Anne-Julie et ses collègues souhaitent organiser un rassemblement afin de donner le coup d’envoi de la performance Louis sans répit, Rémi sans famille et de regarder en clan le premier épisode, verre à la main.

Festival Triste
Du 24 au 26 novembre
Dans différentes salles du Mile-End
Site web

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Montréal en lumière Ode à l’hiver montréalais

PHOTO VICTOR D. LAMICH FOURNIE PAR MONTRÉAL EN LUMIÈRE

Montréal en lumière a dévoilé aujourd’hui, ce lundi 28 novembre, le contenu de sa 24e édition.

Pour sa 24e édition, qui aura lieu du 16 février au 5 mars 2023, le festival Montréal en lumière assume plus que jamais sa chaleureuse nordicité en célébrant tous les plaisirs de la saison hivernale.

Publié à 12h00

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Iris Gagnon-Paradis
Iris Gagnon-Paradis La Presse

C’est sous le thème Le meilleur de Montréal l’hiver ! que se déroulera cette nouvelle édition de l’évènement, qui compte de multiples volets : gastronomique, bien sûr, mais aussi familial, artistique et festif, avec notamment le retour du Sentier de patin, pour filer sur la glace sur la place des Festivals, les installations lumineuses qui illuminent le Quartier des spectacles, la Grande Roue et la populaire Nuit blanche, qui célébrera son 20e anniversaire.

Côté bouffe, toute une programmation sera déployée pour nourrir les visiteurs sous la thématique Montréal reçoit ! Cette édition poursuit la tradition d’hospitalité de l’évènement, alors qu’une quarantaine de restaurants et établissements recevront des chefs, vignerons et producteurs d’ici et d’ailleurs.

PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE

Ouverte récemment près de l’Esplanade tranquille, Galaxie Brasserie participe à la formule Bonnes Tables Air France.

La formule des Bonnes Tables Air France, toujours très courue, reste au menu. Des invités internationaux de France, Italie, Belgique, Suisse ainsi que de plusieurs pays scandinaves seront de passage dans une quarantaine d’établissements montréalais dont l’Auberge Saint-Gabriel, Galaxie Brasserie, Foxy, Rose Ross, Hélicoptère ou encore Mon Lapin, afin de proposer des menus dégustation, mais aussi lunchs, brunchs et apéros. Les réservations sont ouvertes dès maintenant.

PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE

PSteve Beauséjour du Vignoble de La Bauge, sera de passage Chez Victoire.

Parmi les invités internationaux qui feront tourner les têtes, notons les chefs étoilés Michelin Benoit Neusy (Belgique) à La Chronique et Romain Meder (France) chez Mastard, la chef Ina Niiniketo (Finlande) au Ratafia ou le vigneron français Julien Labet, qui fera la paire avec Menu Extra. Côté local, on retrouvera notamment Steve Beauséjour (Vignoble de La Bauge) Chez Victoire, Timothy Charles (Fogo Island Inn, Terre-Neuve) à Maison Boulud ou le Vignoble du Ruisseau (Dunham) au Bivouac.

Évènement d’exception à ne pas manquer, le Toqué s’associe avec la Fondation Riopelle pour un menu aux couleurs du peintre qui risque d’être mémorable, le 22 février 2023. Les réservations seront ouvertes à partir du 22 janvier 2023 – à inscrire à votre agenda !

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE

Dans le Vieux-Montréal, l’hôtel William Gray participe au forfait Couette & Gastronomie.

Des formules éprouvées de retour

Ayant comme mission de démocratiser le terroir québécois, le Quartier Gourmand est toujours populaire avec ses conférences, dégustations, démonstrations et ateliers culinaires. Il a cette année une nouvelle maison : le grand espace public intérieur de la Place des Arts. Pendant les week-ends du 18-19 puis du 25-26 février, plus d’une vingtaine d’activités gratuites seront au menu.

Les Forfaits Couette & Gastronomie sont aussi de retour. La formule à succès permet de combiner nuitée dans un hôtel de la métropole et expérience gastronomique dans le restaurant associé à l’établissement hôtelier, par exemple Fairmont Le Reine Elizabeth et le Rosélys ou Hôtel William Gray et le Maggie Oakes. Un forfait pour les familles, durant la semaine de relâche, fait son entrée pour la première fois dans la programmation, aux hôtels Monville et DoubleTree by Hilton Montréal.

Consultez le site de Montréal en lumière

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Le festival Montréal en lumière présente sa programmation gastronomique


Une quarantaine de restaurants et d’établissements montréalais accueilleront des chefs locaux et internationaux.
PHOTO : RADIO-CANADA

La Presse canadienne
Publié hier à 19 h 01

Le festival Montréal en lumière aura lieu pour une 24e année du 16 février au 5 mars 2023 sous le thème « Le meilleur de Montréal l’hiver! ». Cette présentation sera marquée par le 20e anniversaire de Nuit blanche et par le retour de chefs internationaux invités dans les restaurants de la métropole québécoise après deux ans de pandémie.

Les organisateurs ont dévoilé lundi la programmation du volet gastronomique du festival. C’est un menu copieux et gargantuesque qu’on a à vous offrir, a promis la chargée de projet de l’Équipe Spectra, Julie Martel, en conférence de presse.

Sous le thème Montréal reçoit, une quarantaine de restaurants et d’établissements montréalais accueilleront des chefs et des producteurs locaux et internationaux. Ceux-ci proviendront de la France, de l’Italie, de la Belgique, de la Suisse et de la Scandinavie.

Diverses activités spéciales auront également lieu, par exemple un colloque sur l’identité culinaire québécoise et une collaboration entre le restaurant Toqué! et la Fondation Riopelle pour souligner le 100e anniversaire de naissance du peintre Jean-Paul Riopelle.


Parmi les activités extérieures, la grande roue fera son retour en 2023.
PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-CLAUDE TALIANA

Au cours des deux premières fins de semaine de Montréal en lumière, plus d’une vingtaine d’activités gratuites sont également prévues dans le grand espace public de la Place des Arts, où prendra forme le Quartier gourmand.

Des ateliers sur l’alimentation durable, sur les traditions culinaires autochtones, sur les pâtisseries véganes et sur les légumes asiatiques sont notamment au programme.

Montréal en lumière, c’est aussi des spectacles intérieurs, le sentier de patin qui surplombe la place des Festivals en version améliorée, la grande roue et des installations lumineuses, a résumé le directeur général de Spectra, Jacques Primeau.

Il y a de plus un gros anniversaire à souligner, a-t-il ajouté : celui de l’événement Nuit blanche, qui en sera à sa 20e présentation le 25 février. Ce rendez-vous permet aux institutions culturelles ainsi qu’à divers espaces privés et publics d’ouvrir leurs portes à la population et d’offrir des activités ou des performances.

« Au moment où l’on parle, il y a près de 100 organismes qui ont soumis des projets. C’est donc un grand retour de Nuit blanche. Et ce n’est pas juste au Quartier des spectacles, c’est un peu partout à Montréal. »

— Une citation de Jacques Primeau, directeur général de Spectra

Promouvoir l’hiver

Avec le plein potentiel retrouvé de Montréal en lumière et de son volet gastronomique, Tourisme Montréal estime que cet événement saura rayonner encore davantage à l’extérieur de la ville. L’organisation entend en faire la promotion au-delà des frontières du Québec.

Malgré les mesures sanitaires, Montréal en lumière s’est renouvelé. Ils ont réinventé le produit touristique hivernal avec le sentier de patin et la mise sur pied de la patinoire, où on a pu voir des spectacles exceptionnels et où les Montréalais ont pu commencer à patiner, a mentionné la vice-présidente au développement de la destination et aux affaires publiques de Tourisme Montréal, Manuela Goya, en entrevue.

Tourisme Montréal souhaite d’ailleurs accentuer ses efforts pour promouvoir la saison hivernale. Les intentions de voyage des touristes démontrent que la métropole est aussi prisée comme destination d’hiver, a noté Mme Goya.

Le Québec et le Montréal hivernal, ça fait partie de notre ADN. Il faut en faire profiter les gens qui viennent de l’extérieur. Ce n’est pas tout le monde qui a vu de la neige, a fait remarquer le PDG de l’Association des hôtels du Grand Montréal, Jean-Sébastien Boudreault.

Les trois premiers mois de l’année s’avèrent toujours plus difficiles pour le milieu hôtelier, mais M. Boudreault sent que le vent commence à tourner alors que des initiatives se mettent en branle pour promouvoir l’hiver.

La fin des restrictions aux frontières depuis octobre pourra déjà aviver l’engouement des touristes étrangers pour la saison froide, croit Mme Goya.

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Igloofest lance ses soirées Après-ski


Cet hiver, Igloofest convie les noctambules à ses soirées dansantes Après-ski, qui se déploieront du 20 janvier au samedi 11 février dans des salles et bars du Vieux-Montréal, à la suite de sa programmation régulière à la belle étoile. | Photo: Ulysse Lemerise

Journal Métro | Caroline Bertrand avec la participation de Constance Cazzaniga | 16 décembre 2022 à 17h11

Les fêtard.e.s de l’Igloofest ont de quoi jubiler : pour souligner son 15e anniversaire en grand, l’événement phare de l’hiver montréalais lance une série de 27 soirées Après-ski survoltées déployées dans le Vieux-Montréal, dont une qui se terminera à 6h le matin.

Les vendredis et samedis soirs, du 20 janvier au 11 février, les noctambules pourront danser au chaud de 23h à 3h dans des salles et bars du Vieux, comme le Centre PHI, l’Auberge Saint-Gabriel, le Francesco’s ou le Soubois.

La série Après-ski culminera avec une nuit euphorisante à la Société des arts technologiques. Les Igloosapien.ne.s pourront danser toute la nuit du samedi 11 février au dimanche matin à 6h au rythme de la musique pilotée par nuls autres que les artistes de la célèbre étiquette Anjunadeep. La fierté montréalaise CRi, qui en fait partie, offrira d’ailleurs un DJ set!

C’est un partenariat avec la Ville de Montréal qui permet cette autorisation spéciale dans le cadre d’un projet pilote pour la prolongation des heures de vente d’alcool dans l’objectif de redynamiser la vie nocturne de la métropole. Sept OBNL, dont Igloofest Soirées et la Société des arts technologiques, ont été retenues après un appel à projets et recevront chacune jusqu’à 50 000$ pour réaliser des événements à haut potentiel touristique.

Exposé noir, PHI Muse inc., MAPP_MTL et SHIFT RADIO, Montréal en Lumière ainsi que le Livart sont les autres OBNL retenues par la Ville pour le projet pilote pour la prolongation des heures de vente d’alcool. Au total, ce sont sept événements du genre qui seront réalisé d’ici le 30 mars prochain pour 258 000$, un montant provenant de l’enveloppe de 7 millions de dollars pour le plan de relance du centre-ville.


Programmation des soirées Après-ski d’Igloofest. Image fournie par Igloofest

La programmation régulière sous les étoiles d’Igloofest se tiendra quant à elle au quai Jacques-Cartier du 19 janvier au 11 février. Fidèle à son habitude, Igloofest réserve une avalanche de rythmes électrisants qui réchaufferont les noctambules vêtu.e.s de leur plus beaux habits de Ski-Doo.

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My lord lol, Igloofest is going hard! I hope this is a permanent thing.

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Igloofest dans 3, 2, 1…!


L’incontournable festival de musique Igloofest, qui réchauffe l’hiver montréalais, reviendra en janvier prochain. | Photo: Charles Prot

Journal Métro | INSPIRATION | Nightlife.ca | 10 janvier 2023 à 16h24

C’est le 19 janvier prochain que débarque le déjanté festival hivernal Igloofest. Le festival qui réunira une tonne d’artistes tels que Flume et Tiësto se déroulera jusqu’au 11 février au Vieux-Port de Montréal.

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Après deux années de report, l’équipe du festival promet des soirées inoubliables et surtout les partys les plus hot de l’hiver!

Le festival affiche déjà complet sur 4 de ses 12 soirées au Quai Jacques-Cartier, une première dans son histoire.

Il reste tout de même huit soirées pour s’éclater avec votre gang au son de la musique électronique; une occasion de profiter de l’hiver à ne pas manquer.

Pour se procurer des billets et faire partie de ceux qui auront un max de fun, c’est juste ici.

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:confetti_ball: :flags:

Nouvel An lunaire Des artistes asiatiques sous les projecteurs


PHOTO JOSIE DESMARAIS, LA PRESSE | Andy Khun et Anqi Sun font partie des artistes qui se produiront dans le cadre du Festival du printemps.

Arbre à souhaits, danses du lion et du dragon, défilé de mode et prestations d’artistes, la communauté chinoise présente ce week-end son premier Festival du printemps pour célébrer le Nouvel An lunaire. La Presse a rencontré deux des artistes qui se produiront dimanche à la place Sun-Yat-Sen.

20 janvier 2023 | Publié à 6h00 | JEAN SIAG | LA PRESSE

Ce n’est pas tous les jours que la communauté artistique chinoise se fait entendre.

Hormis le spectacle collectif à grand déploiement Shen Yun, présenté chaque année à la Place des Arts, les talents individuels des artistes issus des communautés asiatiques nous sont à peu près inconnus.

Avec Eva Hu, le coorganisateur du Festival du printemps du Quartier chinois, Winston Chan, a voulu remédier à cela. « On a commencé à programmer des artistes au Marché de nuit asiatique, qu’on organise depuis trois ans, explique-t-il, mais on voulait créer un évènement pour marquer le passage du Nouvel An, célébré dans plusieurs communautés asiatiques. Avec le Partenariat du Quartier des spectacles, on a trouvé cette formule. »


PHOTO JOSIE DESMARAIS, LA PRESSE | Winston Chan, coorganisateur du Festival du printemps du Quartier chinois

Winston Chan avoue avoir eu de la difficulté à trouver des artistes. « Il n’existe aucune plateforme pour les artistes asiatiques, regrette-t-il. J’ai dû enquêter sur les réseaux sociaux, sur YouTube, TikTok. C’est comme ça que j’ai trouvé des artistes chinois ou asiatiques de Montréal. »

Parmi eux, Anqi Sun, auteure-compositrice-interprète montréalaise, qui a quitté la Chine à 21 ans pour s’établir d’abord en Colombie-Britannique, puis à Montréal, pour entamer des études en musicothérapie. L’artiste de 37 ans chante pour le groupe de musique électro-pop Ossa Project, tout en menant des projets solos.

Écoutez la pièce Not Too Far, d’Ossa Project

« Je chante en anglais et en mandarin », dit Anqi Sun, qui interprétera dimanche trois pièces qu’elle a composées. « Ce sont des pièces d’influence chinoise, mais de style jazz », précise cette touche-à-tout, qui anime une balado (Under The Sun) et une émission radio (Cha Party), où elle rencontre des artistes asiatiques.

Anqi Sun avoue que sa famille – toujours en Chine – n’est pas « enchantée » par son choix de carrière. « Ils sont inquiets. Pour eux, c’est un métier tellement précaire… » Mais de toute évidence, c’est ce qui la rend heureuse.

Rencontre de plusieurs communautés

Un autre participant à cette fête du printemps, qui célèbre l’arrivée de l’année du Lapin – symbolisant le calme, la diplomatie et l’espoir, nous informe Winston Chan –, s’appelle Andy Khun, jeune Montréalais d’origine cambodgienne âgée de 18 ans.

Contrairement à Anqi Sun, ce sont les parents d’Andy qui l’ont encouragé à chanter depuis sa tendre enfance. Sa mère, Vanna Khun, est une chanteuse bien connue dans son pays. Elle était en tournée au Québec quand elle a rencontré son futur mari – Sivro Sak –, lui aussi musicien. « J’ai grandi avec des parents artistes, raconte Andy Khun, donc dès l’âge de 6 ans, je chantais dans des évènements. »

Andy Khun, qui est suivi par un peu plus de 430 000 abonnés sur TikTok (sous son nom d’artiste Tobiruno), a été finaliste à La voix junior en 2016.

Consultez le compte TikTok d’Andy Khun (Tobiruno)

Le jeune artiste – qui étudie au cégep – parle parfaitement le français, le khmer et l’anglais, en plus de chanter dans une demi-douzaine de langues. Dimanche, il chantera Hallelujah, de Leonard Cohen, en mandarin, en français et en anglais.

Les autres artistes attendus dimanche (entre 13 h et 15 h) sont Sophie Chen, Tamini, Mando, Miumiu, Hua Li et le Montreal Confucius School Folk Music Ensemble.

Winston Chan, qui s’attend à ce qu’au moins un millier de festivaliers se présentent dans le Quartier chinois ce week-end, insiste sur la présence de plusieurs artistes issus de diverses communautés asiatiques. « Il y a bien sûr des membres de la communauté chinoise, mais il y aura par exemple des gens de la communauté vietnamienne [qui célèbre l’année du Chat]. »

Une installation « suspendue » de l’artiste visuelle Karen Tam, Les dragons à la poursuite de la lune, sera également inaugurée ce week-end – et visible jusqu’en mars. Une centaine de lanternes traditionnelles compléteront cette installation présentée dans le cadre des Moments lumineux du cœur de l’île, rue De La Gauchetière.

Le Festival du printemps du Quartier chinois se tiendra de vendredi à dimanche à la place Sun-Yat-Sen, au coin des rues Clark et De La Gauchetière.

Consultez la page du festival

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Just gonna leave this here, random but it will generate a lot of $$$

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What a weak lineup lol, they hyped it up for nothing.


https://metrometro.ca/en/

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On another note, Ile Soniq was promised to be three days this year, it got scaled back to two days with the Friday being “in the city”… Evenko cheapening out again.