Festivals à Montréal - Discussion générale et actualités

Je suis pas contre. Mais il y a des limites à tenir immédiatement responsable le promoteur de tout débordement possible. Si les gens veulent faire le bordel ils le feront et aucun évènement n’est à l’abris de ça. Le commentaire de @louisleonardo semblait dire que it is to be expected vu que c’est le même promoteur que celui du Beach Club. Et dire ça évacue plusieurs autres variables menant à ces éventuels débordements dont principalement le manque de civisme des festivaliers. C’est l’une des raisons pour lesquelles j’évite ces endroits.

La raison pour laquelle j’ai dit ça est parce qu’Olivier Primeau a un historique de laissez-faire face à des débordements. D’ailleurs il a refusé de commenter quand il a été contacté pour les évènements de ce weekend en redirigeant vers l’agence de comms, et a même répondu à un Tweet de quelqu’un qui se vantait d’être entré sur le site sans payer en disant qu’il était content que la personne ait eu du fun. C’est quelqu’un qui représente parfaitement le dicton du «Parlez-en bien, parlez-en mal mais parlez-en».

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That was quick, Metro Metro returning May 19,20,21 in 2023. Considering all the circumstances and this being the first festival “post” covid, I won’t be surprised if next year will be larger and hit 100,000 people.

We should also hopefully see the return of Heavy Montreal/77 Montreal in 2023, I sincerely hope those festivals are not completely cancelled.

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Avec les nouvelles 24h et internet tout est emplifie x10 aujourd’hui.

Dans les années 90, dans les.shows de Metallica, Slayer et Maiden où j’allais…il se donnait des claques sur la gueule…pas à peu près.

Je demeurais dans la Beauce et cela se battait à tour de bras dans les.bars.

Aujourd’hui honnêtement, la.génération de mes filles sont pas mal plus tranquilles que nous.

C’est pas une question d’amplification ici, mais de mesures de sécurité qui sont un prêt requis pour la bonne tenue de ce genre de festival. Surtout quand on voit les images, on a l’esprit le drame de l’Astroworld qui a fait 10morts.

Dans le temps, ça devait pas être plus sécuritaire et temps mieux que c’est devenu plus sécuritaire maintenant. Sauf que lorsqu’il y a des débordements qui auraient pu être évitable, faut en parler, car si on laisse faire, on va se retrouver avec des annulations de festivals.

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Programmation estivale au centre-ville

Texte complet

Programmation estivale à Montréal | Les visiteurs invités à investir le centre-ville

Plage urbaine, spectacles gratuits, soirées de projections en plein air, marché gastronomique asiatique, expériences interactives, grande braderie, spectacles de cirque… Voilà quelques-unes des activités auxquelles les Montréalais et les visiteurs sont conviés au cours de l’été au centre-ville.

Publié à 13h14
ISABELLE DUCAS
LA PRESSE

Sous le thème Les moments du cœur de l’île, la programmation des activités estivales montréalaises a été lancée mardi matin par la mairesse Valérie Plante et les autres partenaires responsables de l’animation urbaine.

Mme Plante souhaite que les visiteurs affluent en grand nombre au centre-ville, mais elle souligne que la relance économique y déjà est bien amorcée.

« En termes de relance économique, on est au-dessus de Toronto et de Vancouver », a-t-elle souligné en conférence de presse. « Notre centre-ville n’a jamais cessé de battre, alors ça montre qu’avec de l’énergie et les bonnes ressources, on amplifie les choses pour faire venir les touristes et la visite, que ce soit d’ailleurs au Québec ou de l’international. »

Pendant que la mairesse s’exprimait sur l’Esplanade Tranquille, l’artiste Lars Jan était justement en répétition derrière elle, dans un aquarium géant, pour une performance réalisée dans le cadre du Festival TransAmériques.


PHOTO PHILIPPE BOIVIN, LA PRESSE
L’artiste Lars Jan était en répétition derrière la mairesse Plante, dans un aquarium géant, pour une performance réalisée dans le cadre du Festival TransAmériques.

« Montréal se positionne comme un terrain de jeu pour les visiteurs », affirme Yves Lalumière, PDG de Tourisme Montréal. « On veut être l’épicentre de la relance touristique au Canada. »

Il indique que les liaisons aériennes avec les États-Unis et l’Europe ont repris à 85 %, ce qui laisse présager un afflux de visiteurs étrangers.

« Depuis avril 2021, l’achalandage piétonnier sur la rue Sainte-Catherine a augmenté de 77 % », renchérit Glenn Castanheira, directeur général de l’organisme Montréal centre-ville, qui ajoute que les hôtels sont pleins à 97 % pour la fin de semaine du Grand Prix de Formule 1.

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Info ici sur la programmation estivale
incluant carte interactive pour trouver

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Cet article confirme mon opinion et je suis content que la Ville réagisse en demandant des comptes.

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20 000 visiteurs par jour? De grands espoirs pour Lasso Montréal


Le chanteur américain Dierks Bentley, invité au festival Lasso Montréal cette année | Photo: Courtoisie evenko

Journal Métro | CULTURE | 1 juin 2022 à 14h27 | Marie-Josée R. Roy

La troisième fois sera (en principe!) enfin la bonne pour Lasso Montréal, le nouveau festival country chapeauté par evenko, dont le baptême aura lieu les 12 et 13 août prochains au parc Jean-Drapeau.

L’événement devait à l’origine voir le jour en 2020, puis en 2021, mais a été annulé à deux reprises à cause d’un certain-virus-dont-vous-avez-peut-être-entendu-parler…

Et la production ne cache pas qu’elle nourrit de grandes attentes envers son Osheaga de la botte de cowboy. En entrevue avec Métro, Nick Farkas, vice-président programmation, concerts et événements chez evenko, affirme espérer attirer autour de 20 000 visiteur.euses par jour à sa nouvelle grand-messe country.

«Les ventes de country vont super bien au Centre Bell depuis quatre ou cinq ans, observe Nick Farkas. Dès l’annonce de Lasso, la réaction a été beaucoup plus grande que pour les autres festivals, et les ventes vont déjà très bien. Ç’a été très fort dès le début, on a vu que les gens attendaient un festival country à Montréal. Osheaga, au début, il n’y avait pas grand monde (rires), et ÎleSoniq a pris quelques années à décoller. Si on avait entre 15 000 et 25 000 personnes par jour, ça serait du jamais vu pour nous, pour une première année de festival.»

Rappelons que cette première édition de Lasso Montréal misera sur la présence de vedettes comme Dierks Bentley, Luke Bryan, Old Dominion, Kelsea Ballerini, Ashley McBryde, Brittany Kennell, Matt Lang et Mountain Daisies pour officialiser sa naissance en grand.


Nick Farkas, vice-président programmation, concerts et événements chez evenko | Crédit : Susan Moss

Pas d’Heavy cette année

Nick Farkas croit dur comme fer qu’il n’y a pas que les villages, auxquels on associe généralement les adeptes de western et country, qui peuvent rallier les foules adeptes du genre.

«On a l’opportunité d’utiliser le même site que pour les autres festivals [d’evenko], alors on est capables d’offrir une expérience qui n’existe pas vraiment dans ce style de festivals, en ce moment. La majorité des festivals [country] sont des festivals de camping, qui ne sont pas au milieu d’une ville.»

«On vise à devenir une destination dans le futur, poursuit l’organisateur. À Osheaga, on compte entre 60 et 70% des gens qui viennent de l’extérieur du Québec; à ÎleSoniq, ça monte à chaque année, il y a de plus en plus de touristes. Avec Lasso, pour la première année, on vise le Québec et les alentours, mais dans l’avenir, on voudrait avoir un événement qui se distingue des autres. Parce qu’on a un des meilleurs sites de festivals au monde avec le parc Jean-Drapeau.»

Sous la direction d’evenko, ce même parc Jean-Drapeau accueillera cette année les traditionnels Osheaga (29 au 31 juillet) et le party des amoureux.ses de musique électronique, ÎleSoniq (5 au 7 août), auquel on a ajouté une journée supplémentaire.


Une foule d’Osheaga en 2018 | Crédit : Tim Snow

Mais, exceptionnellement cet été, pas d’Heavy Montréal. C’est le spectacle de Rammstein, prévu aussi au parc Jean-Drapeau le dimanche 21 août, qui fera office de rendez-vous pour les amateur.trice.s de musique métal.

«Mais on verra pour l’an prochain, c’est sûr», assure Nick Farkas, qui se dit emballé comme jamais de renouer en 2022 avec une véritable saison de festivals, comme on n’en a pas vécu depuis 2019.

«C’est incroyablement excitant. Les gens ont trouvé ces deux années [2020 et 2021] longues et sont prêts à revenir en grand nombre. Alors, on travaille très étroitement. C’est certain qu’on fera quelque chose d’impressionnant, cette année!»

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Le Festival de jazz de Montréal dévoile sa programmation


PHOTO CATHERINE LEFEBVRE, COLLABORATION SPÉCIALE | Hubert Lenoir

(Montréal) Près de 400 concerts attendus répartis sur six grandes scènes extérieures et plusieurs salles, le Festival international de jazz de Montréal (FIJM) va reprendre ses aises cette année en donnant aussi un espace dédié aux artistes locaux.

31 mai 2022 | Publié à 16h33 | FRÉDÉRIC LACROIX-COUTURE | LA PRESSE CANADIENNE

« C’est enfin le retour », a lancé le vice-président à la programmation et production de l’Équipe Spectra, Laurent Saulnier, aux dizaines d’invités réunis mardi au Studio TD (anciennement L’Astral) pour connaître les derniers détails de la programmation.

Plusieurs artistes comme Hubert Lenoir, Clay and Friends et Bran Van 3000 s’ajoutent aux noms précédemment annoncés en avril comme Tash Sultana en ouverture et The Roots en clôture.

De nombreux spectacles gratuits ont aussi été dévoilés mardi. La direction du festival dit vouloir revenir à l’accessibilité, « l’un des principaux fondements du festival », en offrant deux séries de concerts en entrée libre au Studio TD.

Environ 60 % des artistes proviennent de l’extérieur du Québec, mais le talent local occupe une place tout aussi importante à travers le festival qui se tiendra du 30 juin au 9 juillet.

D’ailleurs, après s’être « bien occupé » des mots « festival », « international » et « jazz » qui composent son nom, l’évènement décide pour sa 42e année de donner une attention plus particulière au volet « Montréal », a relaté M. Saulnier.

Ainsi, une nouvelle scène extérieure sera consacrée aux artistes montréalais. Au cœur du site de l’évènement, soit sur l’Esplanade de la Place des Arts, s’y produiront entre autres Jesse Mac Cormack, Fernie, Sara-Danielle et Léonie Gray. Le « Club Montréal TD » offrira aussi aux festivaliers de l’alcool et de la nourriture à saveur locale.

« Il n’a jamais été question qu’on délaisse la scène locale du Festival de jazz. C’est pour nous une scène qui est primordiale », a mentionné le directeur de la programmation des festivals Spectra, Maurin Auxéméry, à La Presse Canadienne.

Les salles intérieures ne seront pas n’ont plus en reste du talent québécois. M. Auxéméry cite notamment Hanorah qui fera la première partie de Dominique Fils-Aimé au Théâtre Maisonneuve, le 3 juillet. Une artiste « magnifique » ayant grandi avec le festival et qui arrive « avec une belle notoriété ici », décrit le directeur de la programmation.

L’ajout du chanteur québécois Hubert Lenoir à la programmation semble en avoir étonné plus d’un au Studio TD, mardi. L’auteur-compositeur-interprète se produira tout en jazz au Gesù, le 3 juillet.

« Ceux qui ont des doutes, vous n’êtes pas au bout de vos surprises », a indiqué Laurent Saulnier.

« Il travaille avec beaucoup de jazzmen. Et je pense qu’il a aussi le cœur dans le jazz, un côté très improvisation, très sur la corde raide en permanence. Il a une attitude extrêmement jazz », a fait valoir Maurin Auxéméry en entrevue.

« Supra-excitée »

À quelques semaines du début du FIJM, l’équipe du festival est « supra-excitée » après deux ans de pandémie, avance M. Auxéméry.

« Je ne connais pas cette expérience malheureusement, mais ça donne l’impression d’avoir accouché d’un bébé qui a mis beaucoup, beaucoup, beaucoup, beaucoup de temps à sortir », a commenté le programmateur.

À l’instar de bien des évènements, les deux dernières années ont été bien différentes pour le FIJM qui a offert une formule numérique en 2020 et une édition à plus petite échelle, l’année suivante.

En 2022, ce sera donc un retour à la normale sans restriction sanitaire. « On a fait tomber la grande voile et on avance full speed », a dit M. Auxéméry.

Il mentionne que la vente de billets va bon train avec des résultats similaires aux années avant la COVID-19.

Cet article a été produit avec le soutien financier des Bourses Meta et La Presse Canadienne pour les nouvelles.

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Personne n’avait mis la programmation extérieure des Francofolies! :open_mouth:
Capture d’écran, le 2022-06-01 à 20.23.50

Soyez assuré·e·s que je serai là le 12 juin au soir pour le spectacle Bye bye Karim!

Programmation complète: Francos de Montréal - Spectacles

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Festival Go Vélo (ou Tour la Nuit et Tour de l’île) se passe cette fin de semaine

Tour la Nuit

Tour de l’île

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Je préfère le coq!

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So no concert site at 650 Peel for Mural Fest, the shows that were supposed to happen there got switched to St. Laurent.

Le festival Yatai Mtl, en collaboration avec le Marché des Possibles, à lieu en ce moment. Aujourd’hui, c’était noir de monde:


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Festival Eurêka Les Montréalais célèbrent la science avec des activités en plein air

photo Mélanie Dusseault, tirée de la page facebook du festival

La thématique de l’eau a pour but d’amener les festivaliers à réfléchir sur des moyens de conserver cette ressource naturelle et à découvrir des technologies innovantes liées au domaine de l’eau.

(Montréal) Le festival Eurêka, qui célèbre les sciences et technologies, se déroule cette fin de semaine au parc Jean-Drapeau, à Montréal. Les jeunes sont invités à venir profiter d’une foule d’activités gratuites en plein air sous le thème : « l’eau dans tous ses états ».

Publié hier à 16h45

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Katrine Desautels La Presse Canadienne

Pour la 15e année du festival, les gens peuvent recommencer à participer aux activités en chair et en os après que l’évènement eut été annulé en 2020 et présenté en formule virtuelle en 2021.

La thématique de l’eau a pour but d’amener les festivaliers à réfléchir sur des moyens de conserver cette ressource naturelle et à découvrir des technologies innovantes liées au domaine de l’eau.

L’organisatrice du festival, Marianne Groulx, souligne qu’il ne s’agit pas d’une exposition de sciences. Les différents kiosques proposent des activités « très interactives », et d’assez courte durée afin de permettre aux jeunes d’essayer différentes choses.

« Eurêka permet de vivre des sciences dans un cadre festif et de montrer que la science c’est le fun. On espère allumer beaucoup d’étincelles […] et faire en sorte que ces jeunes qui viennent, observent, testent et mettent les mains dans la science, choisissent des carrières en science ou en technologie dans l’avenir », mentionne Mme Groulx.

L’évènement de ce week-end est composé de spectacles, démonstrations scientifiques et diverses activités ludiques qui prennent place au pied de la Biosphère et aussi à l’intérieur.

Les jeunes d’âge scolaire sont la clientèle cible du festival, mais Marianne Groulx espère attirer aussi les adolescents.

« Jusqu’à l’âge de 12 ans environ, les jeunes sont très curieux pour tout ce qui touche à la science et la techno. Il y a une grande curiosité d’apprendre, de comprendre, de voir et de tester. Cette curiosité tombe à l’adolescente et c’est quelque chose sur lequel on veut travailler auprès des ados », explique Mme Groulx.

Elle croit toutefois que la pandémie a eu un rôle positif pour l’intérêt du grand public envers la science. « On s’est tous rendu compte très vite que sans la science, on irait pas très loin. L’intérêt des citoyens en général a été allumé par ce qu’on vient de vivre », soutient Mme Groulx.

Elle indique qu’un effort est mis aussi pour attirer les jeunes filles puisque peu d’entre elles choisissent de faire carrière dans des domaines scientifiques. « On travaille fort avec différents partenaires pour intéresser les filles à la science et la technologie », indique l’organisatrice.

Programmation

Différentes zones thématiques sillonnent l’île Sainte-Hélène, telles que les technologies, l’énergie, la biologie ou la nature. Les familles peuvent donc participer aux « petits villages thématiques » qui les intéressent le plus. Mme Groulx s’attend à accueillir au moins 50 000 visiteurs cette année.

Les favoris du festival, l’entomologiste Bill Bestiole, l’équipe des Neurones atomiques et le chimiste Yannick Bergeron, performeront avec leurs prouesses scientifiques.

Le premier Québécois à avoir terminé une course autour du monde à la voile en équipage, Simon DuBois, partagera son expérience avec le public. De plus, l’Université Bishop’s fera des démonstrations avec un drone aquatique qui cartographie les lacs et aide à la prévention de la pollution des cours d’eau.

Les participants auront également l’occasion de générer de l’hydro-électricité, de piloter un avatar de surfeur dans un banc de requins à l’aide de l’intelligence artificielle ou encore d’explorer le patrimoine culturel enfoui dans les profondeurs du fleuve Saint-Laurent.

Par ailleurs, un volet virtuel fait désormais partie du festival et il est disponible toute l’année sur le site web festivaleureka.ca. Sous forme de jeu, on retrouve l’île avec des zones thématiques comme au festival et les jeunes peuvent les parcourir en accumulant des points en participant à des quiz.

Samedi soir, à 20 h, le porte-parole du festival qui est également animateur de l’émission Génial diffusée à Télé-Québec, Stéphane Bellavance, proposera une version unique du quiz Génial en compagnie de son acolyte scientifique, Martin Carli.

Le festival Eurêka se poursuit jusqu’à dimanche soir. Les activités auront lieu même en cas de pluie. Les festivaliers sont invités à venir au parc Jean-Drapeau en métro, comme le pont Jacques-Cartier sera fermé à la circulation automobile pour le Gran défi Pierre Lavoie.

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Okay so after going to Mural Fest a few times, I gotta say I am again disappointed. I have heard the same complaints from others, they include (but not limited to)

  1. There’s fewer murals than advertised on the website (15 vs 18 muralists + 2 digital artists).
  2. A lot more than usual got replaced, meaning the net gain is much fewer than usual.
  3. Lots of disappointment that they got rid of free shows, especially when many people are cash strapped.
  4. It feels more corporate now and the vibe has been kinda dead compared to previous years. Definitely emptier on weekdays than other years.
  5. A lot of people were not happy with them switching the concert venues from Peel to St. Laurent.
  6. Concerns about murals being vandalised already/older ones not getting cleaned up as promised.

And for me personally, I love the Vancouver mural fest a lot more. Not only is it much larger, but there’s more activities to do, it’s in different neighbourhoods and artists are more diverse. I’ve gone to almost every addition there, and it’s superior to ours. Every year, Vancouver’s festival produces 60+, compared to ours which has been the same 12-18 range. And unlike Vancouver’s, we are losing a lot of murals due to development, which makes it pointless to even spend all that money to begin with.

I sincerely hope others raise the same concerns or people who are close to those at Mural read this and improve next years edition. We always act like our festivals are the best and we’re an open air museum, but we always underperform. It’s sad because I always look forward to Mural Fest, but it has taken a nose dive since 2019 IMO.

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Les remplacements de murales sont regrettables. C’est limite insultant pour un artiste de se déplacer à Montréal pour créer une oeuvre qui sera remplacée l’année suivante. Il y a suffisamment de murs aveugles de béton dans la ville pour rendre les créations permanentes. La ville pourrait offrir des incitatifs aux propriétaires qui acceptent de mettre leur mur à la disposition du festival. Un peu d’effort!

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Les Francos qui seront renommés Festival Cajun et des bayous de Montreal.