Hyperloop - Transport à très haute vitesse

Il semble que la compagnie Transpod au Canada soit en attente de Transports Canada pour installer un tronçon en Alberta.

Virgin Hyperloop hosts first human ride on new transport system

Two company executives hit speeds of up to 172 km/h in test

Thomson Reuters · Posted: Nov 09, 2020 8:11 AM ET | Last Updated: 11 hours ago


A Virgin Hyperloop pod is seen at their DevLoop test site in Las Vegas in this November 8, 2020, handout image released by the company. (via REUTERS)

Richard Branson’s Virgin Hyperloop has completed the world’s first passenger ride on a super high-speed levitating pod system, the company said on Sunday, a key safety test for technology it hopes will transform human and cargo transportation.

Virgin Hyperloop executives Josh Giegel, its chief technology officer, and Sara Luchian, director of passenger experience, reached speeds of up to 172 km/h at the company’s DevLoop test site in Las Vegas, the company said.

“I had the true pleasure of seeing history made before my very eyes,” said Sultan Ahmed Bin Sulayem, chairman of Virgin Hyperloop and group chairman and chief executive of DP World.

Los Angeles-based Hyperloop envisions a future where floating pods packed with passengers and cargo hurtle through vacuum tubes at 966 km/h or faster.


Virgin Hyperloop executives Josh Giegel, left, and Sara Luchian are seen inside a Virgin Hyperloop pod during testing on Sunday. (Virgin Hyperloop/REUTERS)

In a hyperloop system, which uses magnetic levitation to allow near-silent travel, a trip between New York and Washington would take just 30 minutes. That would be twice as fast as a commercial jet flight and four times faster than a high-speed train.

The company has previously run over 400 tests without human passengers at the Nevada site.

The test comes a month after Reuters first reported that Virgin Hyperloop picked the U.S. state of West Virginia to host a $500-million US certification centre and test track that will serve as a proving ground for its technology.

The company is working toward safety certification by 2025 and commercial operations by 2030, it has said.

Canada’s Transpod and Spain’s Zeleros also aim to upend traditional passenger and freight networks with similar technology they say will slash travel times, congestion and environmental harm linked with petroleum-fuelled machines.

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Montréal - Toronto en 40 minutes… j’espère vivre assez vieux!
https://totimes.ca/toronto-montreal-hyperloop-train-40-minutes/
https://totimes.ca/toronto-to-windsor-in-under-half-an-hour/

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Dans cette entrevue à l’émission L’heure du Monde, il est mentionné que théoriquement, ces engins pourraient atteindre la vitesse du son →
Premiers humains à bord d’une capsule Hyperloop : Explications de V. Rességuier Rattrapage du 9 nov. 2020 : Le vaccin de Pfizer et l'entretien de Trudeau avec Biden

Une de mes chaînes préférées sur Youtube The B1M parle du test avec passagers.

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J’aurai peur de le prendre… ça va trop vite…

A more accurate but perhaps less flattering claim would be that my Honda Odyssey can travel at the fastest speed Virgin Hyperloop has yet attained, and with four times as many people riding in it.

Hell, for that matter, as a Twitter user helpfully pointed out, a freaking steam locomotive hit 126 miles per hour in England, 82 years ago, in 1938.

Rien à rajouter :rofl:

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Je ne comprends pas la fixation de gens comme Elon Musk ou Richard Branson à vouloir créer des modes performants mais à faible capacité et destinés à une tranche spécifique de la population.

Voir aussi: The Boring Company

Le sujet revient dans les médias

L’hyperloop, un rêve qui peine à devenir réalité


Agence France-Presse Le premier prototype d’Hyperloop One Pod a été testé en juillet 2017, au Nevada.

ina Iseni - Agence France-Presse*à Paris
3 janvier 2024
Économie

Douze ans de recherche, mais toujours pas de ligne opérationnelle en vue : l’hyperloop, le concept de train très rapide à sustentation magnétique lancé par Elon Musk, peine à se concrétiser, même si plusieurs entreprises travaillent encore sur le sujet.

Ce moyen de transport futuriste consiste à faire circuler des capsules pressurisées, maintenues en l’air grâce à des aimants, dans un tube à basse pression, à une vitesse qui pourrait atteindre 1200 km/h.

Reprenant une ancienne idée, le concept avait été dépoussiéré en 2012 par le milliardaire Elon Musk, qui ne s’était pas directement lancé dans l’aventure mais avait encouragé des start-up à réaliser son rêve.

« L’hyperloop est passé par un cycle technologique très familier où il y a eu énormément d’excitation » autour de ce mode de transport, analyse Rick Geddes, expert des politiques d’infrastructures à l’Université Cornell, dans l’État de New York. « Mais il s’est avéré que c’était plus difficile à déployer que ce que l’on pensait. »

Dernier rebondissement en date : Hyperloop One a récemment mis la clef sous la porte, selon l’agence Bloomberg. Cette compagnie très active a disparu des radars. Sa direction et son actionnaire principal n’ont pas répondu aux sollicitations de l’AFP.

Financée un temps par Richard Branson, fondateur du groupe Virgin, Hyperloop One avait, entre autres, fait des essais dans le désert du Nevada à 387 km/h. En novembre 2020, elle avait transporté des passagers pour la première fois, atteignant seulement 172 km/h.

Plus discrète, la canadienne TransPod planche également depuis plusieurs années sur une ligne de transport de passagers et de fret léger de 300 km entre Calgary et Edmonton, dans l’ouest du Canada.

Un projet évalué à près de 18 milliards de dollars américains que Sébastien Gendron, cofondateur et p.-d.g. de TransPod, espère voir ouvrir « avant 2035 ».

La société a d’ores et déjà réussi à lever 550 millions de dollars auprès du fonds britannique Broughton Capital Group pour développer un premier tronçon de 7 km visant à « certifier la technologie ».

Mais malgré les levées de fonds, les accords de principe, les études de faisabilité ou le développement de prototypes, la situation semble stagner pour les différentes entreprises qui portent le projet, et les experts demeurent sceptiques.

Gueule de bois

Hyperloop Transportation Technologies (HyperloopTT), une autre compagnie californienne s’intéressant au concept, devait créer une piste d’essai sur une ancienne base militaire près de Toulouse avec la bénédiction des autorités locales. Elle est repartie discrètement.

TransPod a quant à elle été critiquée pour son retard dans la construction d’un centre à Droux, en France. Le permis de construire avait été approuvé en 2018 et les premiers « essais à grande vitesse » étaient initialement prévus pour 2020, indique la société sur son site.

À ce jour, les travaux ont à peine commencé, mais la compagnie espère pouvoir faire des annonces dès janvier.

« C’est un peu un réveil difficile qui est en train de s’opérer », commente Julien Joly, spécialiste transports au cabinet de conseil Wavestone. « Ces dernières années, on croyait à cette technologie-là. Aujourd’hui, c’est un petit peu la gueule de bois ! »

Les entreprises doivent selon lui faire face à de nombreux « freins technologiques », mais également à des questions de sécurité.

Selon Sébastien Gendron, l’hyperloop présente une difficulté initiale, soit celle du financement. « Malgré tout ce que l’on entend de la part des gouvernements et dans la presse, financer l’innovation de rupture reste très difficile », confie-t-il.

Tous n’ont pas jeté l’éponge et des pays montrent toujours des « signes d’intérêt » pour cette technologie, notamment au Moyen-Orient, souligne le p.-d.g. de TransPod.

L’Inde devrait ainsi avoir le « premier démonstrateur Hyperloop » d’Asie à la fin du premier trimestre, à Thaiyur près de Madras dans l’extrême-est du pays, selon une annonce mercredi du sidérurgiste ArcelorMittal.

En 2023, sept entreprises se sont réunies en association afin de « faire progresser l’industrie émergente de l’hyperloop vers la commercialisation ». L’objectif étant de « standardiser » et « d’uniformiser » les demandes auprès de l’Union Européenne, précise Sébastien Gendron.

« J’ai toujours de l’espoir » mais « je pense que le développement de l’hyperloop se fera très lentement et à petits pas », estime Rick Geddes. « Il faudra des années avant d’avoir une route viable. »

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This high-speed rail could connect Edmonton and Calgary

Edmonton to Calgary in 45 minutes? TransPod’s high-speed rail could reach speeds up to 1,000 km/h, and construction of a seven-kilometre test track is slated to begin next year. CBC’s Min Dhariwal spoke to TransPod CEO Sebastien Gendron about the project.

faites quelque chose qui existe réellement. I’ve had it. Spectacle de clown sans cesse. La Chine doit construire 10 000 kilomètres supplémentaires avant que le Canada n’en construise 1 mètre ? La Suisse et l’Italie doivent construire 5 tunnels avant que le Canada ne pose 1 morceau de voie ? C’est juste une distraction a ce point.

Nous ne sommes pas dans la ligue des innovateurs. Nous sommes dans la ligue de l’inaction. Le mieux que nous puissions espérer est de copier quelque chose qu’un autre pays fait avec succès.

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