Merci pour le partage, c’est toujours intéressant de comprendre le cheminement de chacun pour faire son choix.
Je serais curieux de mieux comprendre cette phrase. Vous semblez considérer qu’avoir été ministre du tourisme est un atout dans le cadre de la crise de l’itinérance, mais c’est un sujet complexe avec des enjeux sociaux et humains particuliers et j’ai du mal à voir le lien.
Pour avoir écouter plusieurs personnes dans le domaine discuter de ses propositions pour l’itinérance, ses souhaits sont louables mais aucunement réalistes, et consisteront principalement à camoufler et/ou déplacer le problème comme l’ont fait tant d’autres villes. Malheureusement, tant que le gouvernement du Québec ne fera rien, les municipalités sont prises au dépourvue peu importe qui est à la mairie.
J’avoue que là je suis un peu confus aussi mais bon.
La répression n’est pas la solution à tout. Les pistes bidirectionnelles peuvent, dans certains cas précis, être acceptables. Mais ce n’est vraiment pas un aménagement optimal, ni pour les cyclistes ni pour les voitures d’ailleurs, et pas seulement pour des questions de sécurité. On devrait viser plus de fluidité pour tous les modes!