Économie et commerce - Actualités

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Au centre-ville de Montréal, le taux d’inoccupation des immeubles de bureaux a atteint un niveau record au début de l’année.

Donc oui ça prend des condos/logements en masse pour les commerces

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Publié à 11 h 54

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Hélène Baril La Presse

](La Presse | Hélène Baril)

Cette contraction, plus élevée que la moyenne canadienne (-0,1 %), touche tous les secteurs de l’économie mais en particulier la production, le transport et la distribution d’électricité. Du côté des services, le commerce de détail et le secteur des arts et spectacles enregistrent aussi des reculs.

L’hébergement et la restauration restent un des seuls secteurs en progression d’avril à mai, ce qui peut être lié aux intentions largement exprimées par les consommateurs québécois de rester au Québec. « Cette dynamique pourrait s’être poursuivie durant la période estivale alors que de nombreux Canadiens ont privilégié le tourisme intérieur », analyse l’économiste de Desjardins Sonny Scarfone.

Dans l’ensemble, le portrait de l’économie québécoise reste déprimé. Le recul du PIB en mai est le troisième en quatre mois. L’affaiblissement est graduel, mais soutenu, constate l’économiste de Desjardins. « Ce recul s’inscrit dans un climat d’incertitude commerciale persistante entourant notre relation avec notre principal partenaire économique, dont plusieurs aspects restent à clarifier », explique-t-il.

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Le taux de chômage des jeunes atteint des niveaux de récession : Rapport de la CIBC | Le taux de chômage des jeunes atteint des niveaux de récession | La Presse

Petite anecdote: quand on fait des voyages à vélo, des fois, on n’a rien à faire que d’écouter les gens parler, surtout dans les pauses quand on vient de monter un énorme montage et il y a un parc juste après, ou quand on prend le traversier. Cette année, le sujet numéro un que j’ai entendu chez les jeunes hommes de mettons mi-vingtaine - fin trentaine, c’était qu’ils se cherchaient une job. C’était la première année que je fais ce constat et ça m’a fait un peu froid dans le dos.

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Avec la mauvaise conjoncture liée aux USA et les droits de douanes, le Québec est déjà en ralentissement économique et il n’est malheureusement pas impossible qu’une récession se pointe à l’horizon. En plus avec les énormes déficits causés par la CAQ, Québec a beaucoup moins d’argent pour soutenir l’économie et l’emploi. Ainsi la morosité et l’austérité se sont installées et se sont fâcheusement toujours les jeunes qui écopent en premier :frowning_face:

L’emploi est le sujet du moment:

https://www.lapresse.ca/affaires/entreprises/2025-09-05/vehicules-electriques-d-usage-industriel/norea-capital-acquiert-motrec-en-estrie.php

La firme montréalaise de placements privés en entreprises Norea Capital, qui a 560 millions en actifs sous gestion, acquiert un constructeur de petits véhicules électriques d’usage industriel, Motrec International, qui est établi à Sherbrooke.

« Avec ces nouveaux actionnaires et dirigeants chez Motrec, nous voulons donner à l’entreprise les moyens de réaliser son potentiel de développement et de croissance avec de nouveaux produits et de nouveaux créneaux de marché », résume Luc Ménard, président et associé directeur de Norea Capital, lors d’une discussion avec La Presse.

Entre autres, les nouveaux dirigeants de Motrec veulent rehausser ses parts du marché de la grande industrie aux États-Unis en élargissant le réseau de représentation commerciale. Mais, souligne Luc Ménard, tout en accentuant les efforts de développement vers de gros marchés industriels comme le Mexique et l’Europe.

Planète économique La Finlande peut-elle servir de modèle pour l’industrie du bois ?

L’administration américaine actuelle peut être tenue responsable de beaucoup de problèmes de l’économie canadienne, mais pas de tous. Le mal qui afflige l’industrie du bois d’œuvre, par exemple, existait bien avant Donald Trump.

Ça fait 30 ans que les États-Unis taxent le bois d’œuvre récolté majoritairement dans les forêts publiques du Canada sous prétexte qu’il est subventionné par l’État. Et ça fait 30 ans que l’on continue à exporter des 2 X 4 sur le marché américain.

On aurait pourtant eu le temps d’élargir nos horizons. Mieux vaut tard que jamais, dit-on. Le Québec vient de conclure une entente de coopération avec la Finlande pour s’inspirer de ses pratiques en matière de foresterie.

Ce petit pays (5,6 millions d’habitants) peut nous en apprendre beaucoup sur le sujet.

Le secret finlandais

Au Québec, l’industrie forestière emploie 52 000 personnes et ses exportations représentent 10 % des exportations totales. L’industrie forestière finlandaise emploie plus de 82 000 personnes et ses exportations correspondent à 17 % des exportations totales du pays.

Sur un territoire cinq fois plus petit que le Québec, où les arbres ne poussent pas plus rapidement, la Finlande est devenue une véritable puissance forestière qui génère autant de revenus à l’exportation que l’industrie québécoise.

La recette ? Moins de bois de sciage exporté rough. Plus de produits sophistiqués.

Avec le même type de pins et d’épinettes, l’industrie finlandaise produit du bois d’œuvre, mais aussi davantage de produits dont la valeur sur le marché est plus grande. Des bioproduits innovateurs, du bois traité, du lamellé-collé pour la construction de meubles et d’immeubles, du bois thermiquement modifié (thermowood) dont les utilisations sont multiples.

Avec cette gamme de produits, la Finlande a des clients partout dans le monde, y compris aux États-Unis et au Japon. Ses gros canons comme Stora Enso, UPM-Kymmene et Metsa Board sont parmi les plus importants exportateurs de produits forestiers au monde.

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2025-09-08/planete-economique/la-finlande-peut-elle-servir-de-modele-pour-l-industrie-du-bois.php

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Le bois d’oeuvre comme l’aluminium et à plus haut niveau le dossier de la productivité Québécoise et Canadienne en général: on est pris à se contenter de faire des produits de base, et rien ne semble motiver les compagnies à en faire plus.

Ceux qui se démarquent du lot de passivité sont rapidement vendu à des étrangers (ex: Héroux-Devtek).

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La Ville de Québec annonce un crédit de taxe pouvant atteindre au maximum 20 millions de dollars pour attirer des entreprises dans les anciens locaux de Medicago, un immense bâtiment encore presque vide au 2300, avenue d’Estimauville.

Pour être admissibles, les entreprises intéressées devront investir au moins 25 millions de dollars dans des travaux d’aménagement et l’aide financière pourra atteindre 30 % des dépenses admissibles.

L’argent sera versé aux entreprises sous forme de congé de taxe sur une période de 7 ans et le programme a été plafonné à 20 millions de dollars.

On transforme un éléphant blanc en une richesse collective, commente le maire Bruno Marchand alors qu’une première entreprise, LumIR, vient d’aménager dans l’immeuble de 700 000 pieds carrés.

On a un tissu économique de jeunes pousses extraordinaires qui vont faire la richesse de Québec pour les 10, 15, 20 ou 30 prochaines années.

Une citation de Bruno Marchand, maire de Québec

En cessant ses activités au début 2023, Medicago, qui devait produire des vaccins à base de plante, a laissé derrière elle d’immenses locaux vides, dont l’aménagement intérieur n’était pas terminé.

Le gouvernement fédéral a été incapable de trouver un repreneur et le bâtiment a finalement été acheté par un groupe d’investisseurs à l’automne 2024 pour la somme de 17 millions de dollars dans l’objectif d’en faire un pôle dans le domaine des sciences de la vie.

Bruno Marchand voit un fort potentiel dans ce site alors que la zone d’innovation InnoVitam, censée donner un élan au développement de l’est de la ville, est passée à la trappe sous l’ancien ministre de l’Économie, Pierre Fitzgibbon.


Jonathan Lavoie](Jonathan Lavoie | Profil | Radio-Canada)

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Première Nations Un cercle économique qui s’élargit

La participation sans cesse grandissante des Premières Nations à l’activité économique québécoise et canadienne se traduit aujourd’hui par le développement de nouvelles expertises dans les différentes communautés autochtones du pays et par une plus large ouverture au dialogue et à la réconciliation économique.

Chaque année, on constate qu’il y a de plus en plus de projets d’investissement qui impliquent des participations financières de communautés autochtones dans différents secteurs d’activité, notamment l’énergie et la foresterie, mais plus particulièrement dans celui de l’immobilier commercial.

L’exemple de la Grande Nation crie illustre bien la plus grande présence autochtone dans l’économie québécoise depuis que la communauté a mis sur pied un fonds de développement économique, la Creeco, en 1982, qui a pour mission de faire fructifier les compensations financières qu’elle perçoit d’Hydro-Québec en vertu de la Convention de la Baie-James. La Creeco est active dans le secteur hôtelier, la construction, le transport aérien, le développement minier…

La communauté crie de Wemindji, située à 190 kilomètres au sud de Radisson, sur la côte est de la baie James, obtient de surcroît des redevances minières de la part de la mine d’or Éléonore, située sur son territoire. Cette communauté a mis sur pied son propre fonds de développement économique, la Tawich Development Corporation.

Cette corporation a pris une participation majoritaire dans la propriété de l’hôtel Microtel de Val-d’Or, tout en ayant une participation dans le Quality Inn de la ville ainsi que dans un autre hôtel d’Ottawa. Tawish exploite également une dizaine d’entreprises dans les secteurs du transport, de l’entretien, de la maintenance de camps miniers…

Faire le pont

C’est dans ce contexte d’une présence autochtone plus affirmée dans le paysage économique québécois que Benoit Loyer, un Mi’gmaq originaire de Listuguj qui a grandi en Outaouais, vient de fonder la première agence immobilière commerciale autochtone au Canada.

« Il y a bien des corporations de développement qui font de l’immobilier, mais on est la première agence immobilière spécialisée dans le conseil, la vente, la location, la localisation de sites. On veut être le pont entre les entrepreneurs autochtones et les non autochtones », résume Benoit Loyer.

« Il y a une effervescence entrepreneuriale au sein des Premières Nations, on le sent. On veut devenir le bras externe des communautés pour leurs besoins immobiliers, on va être là pour les conseiller, pas seulement pour réaliser des transactions », anticipe l’entrepreneur immobilier qui a invité 125 personnes mercredi midi au lancement officiel de son agence immobilière commerciale à Kahnawake.

https://www.lapresse.ca/affaires/chroniques/2025-09-11/premiere-nations/un-cercle-economique-qui-s-elargit.php

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Le top 3 mondial du conseil en gestion à Montréal

> Trente ans après son implantation à Toronto, le groupe conseil international en management Bain & Company s’installe à Montréal, où le nouveau leader de Bain Québec, Matthieu Vigneron, termine l’embauche de la trentaine de spécialistes en gestion et en stratégie d’entreprise qui vont constituer le noyau de départ de l’organisation.

Cela fait près d’un an maintenant que Bain prépare son implantation à Montréal et que Matthieu Vigneron, qui était associé au bureau français de la firme américaine, est devenu le maître d’œuvre de cette installation sur le sol montréalais, avec l’ouverture officielle de son bureau au début d’octobre.

Donc l’arrivée prochaine de Bain & Company à Montréal est une première même si cela fait 30 ans que le groupe est établi au Canada, à Toronto. L’entreprise est l’un des trois cabinets-conseils internationaux en management et en stratégie d’entreprise les plus importants au monde, avec McKinsey et le Boston Consulting Group (BCG). Bain & Co. compte 67 bureaux dans 40 pays et plus de 20 000 consultants.

Tant McKinsey que le BCG ont déjà ouvert des bureaux à Montréal en 1991 et en 2013. Bain vient donc compléter la présence du top 3 mondial des cabinets en management actifs dans la métropole québécoise.

« Ça fait un an qu’on travaille à l’ouverture de notre bureau montréalais. C’est à la demande de nos clients établis au Québec qui souhaitaient que l’on se rapproche de leurs activités et qui voulaient avoir un accompagnement en français que le conseil d’administration de Bain à Boston a décidé d’aller de l’avant.

Pourquoi Montréal aujourd’hui ?

« On est arrivé à un point de convergence des besoins. Montréal dispose d’un réseau unique de grandes universités, d’un bassin de talents en intelligence artificielle dont les entreprises ont besoin et il y a un repositionnement du Québec qui cherche à s’imposer davantage en Europe », expose le leader du nouveau bureau de Bain Québec.

Selon la firme, Bain a déjà eu des activités plus ou moins soutenues dans le passé avec près des deux tiers des grandes entreprises établies au Québec, le but étant maintenant de pérenniser et de raffermir ces relations.

Les champs d’expertise des spécialistes de Bain sont nombreux, mais la firme a développé des créneaux d’excellence dans le secteur manufacturier, spécialement l’aéronautique, les services financiers, le soutien aux firmes d’investissement privé et aux fonds de retraite, la distribution.

Avec la présence sans cesse grandissante des fonds d’investissement privés qui sont actifs dans tous les secteurs d’activité, Bain accompagne les investisseurs en amont avec la vérification diligente et en aval dans l’optimisation des opérations en vue d’une plus grande valorisation.

« On est là pour aider les entreprises à résoudre des problèmes complexes, comme l’implantation de l’intelligence artificielle dans les processus opérationnels, et on n’hésite pas à faire affaire avec les meilleurs spécialistes même s’ils ne sont pas de chez nous », expose Matthieu Vigneron.

https://www.lapresse.ca/affaires/chroniques/2025-09-13/le-top-3-mondial-du-conseil-en-gestion-a-montreal.php

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Filière batterie: une usine pour valoriser des déchets industriels dans les cartons

Par Sébastien Lacroix, Le Nouvelliste

Mis à jour le11 septembre 2025 à 06h45

Aepnus estime avoir prouvé l’efficacité de son procédé. (Aepnus Technology)

En opération depuis août dernier au Centre de recherche et d’innovation de la Société Laurentide, à Shawinigan, Aepnus Technology annonce avoir franchi une étape clé dans son processus visant à construire une nouvelle usine commerciale.

En partenariat avec différents partenaires, dont Ultium Cam, Nemaska Lithium et Vale Base Metals, qui sont liés à la filière batterie à Bécancour, l’entreprise vise à convertir des déchets industriels en produits chimiques qu’ils peuvent réutiliser dans leurs chaînes de production et ainsi créer une économie circulaire.

À son usine de démonstration de Shawinigan, qu’elle a baptisée comme étant son projet pilote «Bécancour», le cap des 2000 heures d’opération 24/7 a déjà été franchi et l’entreprise s’approche même des 3000 heures de fonctionnement en continu.



Aepnus estime que sa technologie brevetée a ainsi a pu démontrer sa capacité à récupérer des matériaux critiques à forte valeur à partir de sous-produits industriels dans les secteurs des mines, des pâtes et papiers, de la chimie et du textile.

Ceci a été rendu possible grâce à 20 techniciens, scientifiques et étudiants du Centre national en électrochimie et en technologies environnementales (CNETE), qui ont été formés au fonctionnement des systèmes pilotes.

La capacité de production de son usine de démonstration permet de consommer environ trois tonnes par année de sulfate de sodium et de produire environ deux tonnes par année d’hydroxyde de sodium.

L’entreprise a toutefois de plus grandes visées au Québec. Elle souhaite que son projet pilote débouche sur une usine commerciale afin de fournir une production locale de soude caustique à différentes industries, dont les fabricants de batteries.

«Si toutes les pièces s’alignent dans les quatre à six prochains mois, la construction commencera au deuxième trimestre de 2027 et les opérations débuteront à la fin de 2027 ou au début de 2028», a indiqué Mackenzie Messer, un porte-parole de l’entreprise basée à Oakland.

Bien que l’entreprise entretienne des liens étroits avec les différents joueurs de la filière batterie qui est en train de s’implanter dans le parc industriel et portuaire de Bécancour, il n’est toujours pas acquis que c’est cet endroit qu’elle choisira. C’est la même chose pour Shawinigan et Trois-Rivières, qui font aussi partie de la Vallée de la transition énergétique. «À ce stade-ci, ils cherchent à construire au Québec en général», a fait savoir le porte-parole.

Transformer une dépense en matière première

Le procédé développé par Aepnus Technology permet de récupérer le sulfate de sodium sur place et de le convertir en soude caustique de qualité membrane et autres produits chimiques utiles. Ceci permet ainsi aux producteurs de réduire leurs coûts de transport et d’élimination, tout en transformant une dépense récurrente en une matière première.



Tout comme les mines pour affiner le lithium et le nickel, les usines de pâtes et papiers pour le traitement de la cellulose, les usines de textile pour la teinture, les fabricants de batteries utilisent la soude caustique pour produire les «précurseurs» qui sont des matières premières pour les matériaux de cathodes.

Or, selon ce qu’indique Aepnus dans son communiqué, le Canada importe encore environ 60 % de sa demande, soit environ 600 000 tonnes par an, représentant près de 1 milliard de dollars, tout en payant pour l’évacuation du sulfate de sodium qui pourrait être retransformé en soude caustique.

«Nous nous attaquons à un problème à la fois simple et coûteux: des industries expédient des produits chimiques de base comme la soude caustique à travers le monde à un prix énorme, alors qu’ils pourraient être récupérés à partir de flux de sous-produits existants pour une fraction du coût», a déclaré Lukas Hackl, PDG d’Aepnus, par voie de communiqué.

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Banque du Canada Le taux directeur baisse à 2,5 %

La Banque du Canada réduit son taux directeur de 25 points de base, de 2,75 % à 2,5 %, sa première baisse depuis six mois dans un contexte d’extrême incertitude.

Publié à 7 h 19 Mis à jour à 10 h 16

Cette baisse largement attendue par les économistes indique que la banque centrale s’inquiète davantage de la faiblesse de l’économie que de l’inflation qui pourrait résulter de la guerre tarifaire déclenchée par le principal partenaire commercial du Canada.

« Étant donné que l’économie s’est affaiblie et que les risques à la hausse entourant l’inflation ont diminué, le Conseil de direction a jugé qu’une réduction du taux directeur était appropriée pour mieux équilibrer les risques », dit le communiqué de la Banque du Canada.

La décision du Conseil de direction de la banque de baisser le taux directeur a fait l’objet d’un large consensus, a fait savoir son gouverneur Tiff Macklem dans sa déclaration à la presse.

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/2025-09-17/banque-du-canada/le-taux-directeur-baisse-a-2-5.php

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Le lancement d’un projet pilote qui permettra aux détaillants de trois villes au Québec de demeurer ouverts à l’heure de l’apéro les samedis et dimanches a donné l’occasion à plusieurs commerçants d’élargir leur réflexion sur les horaires des centres commerciaux

https://www.lapresse.ca/affaires/2025-09-20/centres-commerciaux-au-quebec/vers-de-nouvelles-heures-d-ouverture.php