Densité et étalement urbain

facts? non.
image

Patrick and Jasmine from Oh The Urbanity! do point out that outside of a select few areas, Montreal has a long way to go. There’s this sort of mystification that most of Montreal’s urban is wall to wall The Plateau; quaint multiplex, walkable and mixed use neighborhoods. But, a large part of Montreal is bungalows, cottages, food desert, ocean of asphalt and parking space…

3 « J'aime »

Montreal a aussi beaucoup plus d’espace rurale dans sa banlieue que Toronto. A Toronto, c’est constamment des maisons entre Hamilton et Oshawa, et dans presque tout le boucle du 407. À Montréal on trouve plein de forêts et zones agricoles a l’intérieur de la banlieue comme a Laval, entre les villes du rive nord et à l’extérieur du A 30.

Je me demande pourquoi tu te sens obligé de toujours faire preuve de zèle quand tu réponds à des gens qui ont une opinion de Montréal différente de la tienne. Tu n’aimes cette ville plus que personne ici. Comment tu attaquais presque @Nao1 est un peu dérangeant. Moi ça faisait un moment que j’avais arrêté de te répondre but okay essayons de discuter.

Prendre la distance par rapport au centre ville est beaucoup plus significatif que de comparer deux villes de superficie aussi différente. La ville de Toronto a 630km carrés contre 365km carrés pour Montréal. Donc si on compare les deux il est normal que Montréal paraisse plus dense étant donné que ses limites administratives sont plus proches du centre. Par contre quand on présente les statistiques par rapport à la distance du centre-ville c’est autre chose et en fin de compte c’est plus important quand on parle d’étalement urbain. Et la Toronto et sa région sont beaucoup plus dense que Montréal et la sienne.
De plus Stats Can a les données les plus fiables en ce sens.

Je suis curieux, pensez-vous que les données de StatsCan sont erronées dans ce cas ? Ce sont des données qui considèrent la densité uniquement en distance par rapport au « centre-ville », et non en fonction des limites administratives. Montréal est dense. Mais Toronto est plus dense plus loin de son centre-ville que Montréal. Étant une ville plus grande, bon nombre de ces zones périphériques font toujours partie de la ville de Toronto (Scarborough, Etobicoke) et sont donc soumises à ce changement de règlement de zonage. La région métropolitaine de Montréal devrait songer à faire de même. On ne peut pas se reposer sur le fait que Villeray est dense pour dire que tout va bien.

2 « J'aime »

La région métropolitaine devrait effectivement densifié leur territoire pour multiples raisons.

Suite à cette adoption à Toronto dans le but de densifier des zones déjà urbanisées, je crois qu’à Montréal, nous devons également nous poser des questions sur le potentiel de densification en dehors des derniers espaces libres sur le territoire de l’île. Je lance une idée comme cela, bien rapidement : Et si on autorisait tout redévelopement des immeubles de faible densités construits après 1940 sur l’île de Montréal pour des immeubles de plus haute densité (5 à 7 étages) ? Ou autoriser un redéveloppement pour tout quartier qui s’est développé après les année 40 afin de construire avec une meilleure densification (5 à 7 étages) ? Il n’y aurait donc plus besoin de respecter une limite de 2 étages sur l’ensemble de ces territoires par exemple… On pourrait atteindre un niveau très élevé de densité sur l’île de Montréal, telle que plusieurs ville européennes, sans nécessairement construire des tours de 40 étages. Il faudrait cependant statuer qu’il y aurait une certaine protection ou des considérations additionnelles pour les quartiers plus historiques (Vieux-Mtl, Plateau, Vieux-Rosemont et Petite-Patrie, Hochelaga, Outremont, etc.) ainsi que sur les immeubles institutionnels.

Du moins, un règlement de ce genre devrait être possible pour tout immeuble situé dans un rayon d’un kilomètre d’une station de métro ou train léger et REM.

Toronto a beaucoup de tours d’habitations en peripherie dans ses banlieues. Beaucoup plus qu’a Montreal. Par contre ils ont peu de plex.

En bref on retrouve une plus grande densité a Toronto dans son ensemble.

2 « J'aime »

quand je vois des nouveau développements de la sorte se multiplier seulement dans mon quartier en l’espace d’a peine 4 ans, je pense qu’on est sur la bonne voie pour la densification. a noter que tout ces espaces étaient soit des concessionnaires autos ou des terrains vagues. donc tout est possible.

Ouf, c’est pas joyeux quand on voit la collection comme ça!
C’est dommage, il y avait vraiment le potentiel d’en faire un quartier bien!

On voit qu’il n’y a eu aucune vision d’ensemble, et surtout aucun critères de qualité.

2 « J'aime »

LaSalle a besoin d’une vue d’ensemble, p-ê pas un PPU, mais au moins un plan directeur comme Bridge-Bonaventure.
Le développement entre les parcs Angrignon et Ignace-Bourget met déjà bcp de pression sur les installations sportives et culturelles du quartier Ville-Émard (arr. Sud-Ouest).

2 « J'aime »

Le problème de la densification, c’est que le monde s’imagine de grosses tours à condo remplies de monde, alors que ça peut être aussi doux qu’ajouter des maisons avec “bachelor” dans un quartier, ou réduire la taille des terrains.

6 « J'aime »

Plusieurs personnes ont mal interprété mon post. J’ai simplement dit qu’on devrait suivre l’example de Toronto en autorisant de facto tous plexs dans les zonages unifamiliaux. Ça serait une politique peu controversée parce qu’un plex s’intègre facilement au cadre batit d’un quartier sans ruiner le caractère si précieux pour certains. (Des règles peuvent être créées pour ça)

Oui Montreal figure historiquement très bien quand on parle des plexs et de densité moyenne. Ça ne veut pas dire qu’on de peut pas s’inspirer de nos voisins quand batit notre future. Ce n’est pas une compétition.

Edit: Cette nouvelle politique s’enligne avec la réforme du gouvernement Ontarien qui permet de batir jusqu’à trois logements sur chaque lot à travers la province. Le Bill 23 va inclure beaucoup de mesures pour encourager la création de logements tel que réduire les frais de développement.

9 « J'aime »

À ma connaissance, seules les villes défusionnées de l’agglomération de Montréal ont des secteurs zonés unifamiliale. Il faudrait voir si l’agglomération peut voter une Motion en ce sens, mais je doute qu’elle ait un quelconque pouvoir coercitif sur ses villes défusionnés sur cet enjeu.

1 « J'aime »

Il y en a à ahuntsic (domaine André grasset entre autre), rosemont (près du golf), Outremont, roxboro et VSL à ma connaissance.

Je me rappelle pas de quand, mais ça fait pas super longtemps que Pierrefonds avait construit plein de maisons unifamiliales à l’ouest de Saint-Charles. Je suis pas mal certain que le zonage ne permet que des SFH dans le secteur Anse à l’orme sauf sur Boul. Pierrefonds, Gouin, et Château-Pierrefonds.

Il reste encore quelques endroits dans le Sud-Ouest qui permettent le l’usage H1 (1 unité résidentiel). C’est pour ça qu’il y a encore des demandes de fusion de logements, des transformation de duplexes en unifamiliales. Cependant, il faut faire une demande en PPCMOI, donc c’est du cas par cas.

2 « J'aime »

J’aime beaucoup ce qu’on a fait dans le secteur Angus du quartier Rosemont.

C’est un bon exemple de densité sans etre de haute tours d’ habitations avec beaucoup de plex et maisons en rangées.

Et aussi le village de la poudriere a Verdun avec melange de petite unifamilale et de petits immeubles a logements.

246 Rue de la Poudrière

4 « J'aime »

Context matters. It certainly a sensible density benchmark in say, Mercier-Est, but so close to downtown, a very short walk from TWO metro stations, it’s grossly inadequate, even negligent that 40+ years later, density around so many metro stations is so low.

2 « J'aime »

Ces endroits sont-ils strictement zonés unifamiliale ou est-il quand même possible d’y ajouter des plex? Je pensais que les duplex étaient minimalement permis partout.

Je ne crois pas nécessairement qu’ils (quartier près de certaines stations de métro) soient zoné unifamiliale. C’est plutôt qu’à l’époque du développement de ces quartiers, l’on construisait du 2 à 3 étages par exemple.

Sur l’île de Montréal, nous pouvons déjà construire des Plex et des habitations à moyenne densité depuis très longtemps, voir toujours. Toronto a fait passer cette motion pour aider la densification de la ville puisque les zones de développement vont devenir de plus en plus limitées dans un certain avenir. Dans le cas de Montréal, les zones de redéveloppement disponibles vont aussi se faire très limiter prochainement. Je crois donc que pour densifier son territoire dans les prochaines décennies, au delà des peu de terrains disponibles restants, il faudra passer par une transformation massive des quartiers existants : les quartiers s’ayant principalement développés après 1940 - et donc ne présentant pas une architecture “historique” - devraient tout s’implement être fortement encouragé à être complètement reconvertie pour du redéveloppement entre 5 à 7 étages. Le même genre de densité que le nouveau développement du secteur Angus ou le nouvel Outremont. L’architecture et le développement urbain après 1940 n’est généralement pas très bon de toute façon. L’identité architecturale et urbaine de Montréal est principalement lié aux quartiers historiques s’ayant développé avant 1940.

Rapidement (et peut-être que je me trompe ou que j’oublie probablement des secteurs), l’on pourrait supposé qu’il y a déjà tout ce territoire dans lequel l’on pourrait remplacer les immeubles par de nouveaux développements plus denses et de meilleure qualité architecturale et présentant de meilleure qualité au niveau de l’urbanisme :

Personnellement, je ne comprends pas pourquoi les PPU de certains quartier tentent toujours de protéger et s’harmoniser avec l’architecture de ces quartiers…

2 « J'aime »