Peut-être pas un aménagement aberrant mais je me demande à quoi servent ces ouvertures dans la séparation de la rue et la piste cyclable si les autos peuvent les bloquer de toute façon…
Peut-être qu’on a eu un rabais sur les bollards… on aurait tellement pu juste faire des saillie continues…
Mais je me pose sincèrement la question parce qu’il doit bien y avoir une explication logique, right?
P-ê pour tasser la neige vers la rue lors des opérations de chargement de neige?
C’est la raison donnée pour l’emplacement des supports à vélo
En descendant la rue, le terre plein n’est plus en béton mais remplit de copeaux de bois et de toutes sortes de végétaux… Évidemment ces ouvertures dans ces cas-là facilitent l’accès aux véhicules stationnés sans avoir à piétiner l’aménagement paysager.
Pour le drainage ? Est-ce qu’il y a des puisards du côté de la chaussée ? C’est probablement ainsi s’il n’ont pas refait les conduites avant d’aménager la piste.
C’est effectivement pour le drainage. Les puisards sont encore situés sur le bord de la chaussée, puisque le projet cyclable ne comprenait pas la reconstruction des infrastructures souterraines. L’eau de la rue doit donc pouvoir s’écouler jusqu’aux puisards.
On voit d’ailleurs bien le puisard en question sur la photo, vis à vis l’ouverture du mail.
Bon bah merci… Affaire classée. Reste plus qu’à déplacer mes messages dans “Aménagements qui ont du bons sens”… C’est Pierre-Polièvre qui va être content
Il n’y a pourtant pas de puisard sur les autres ouvertures en amont.
L’eau doit quand même s’évacuer à plusieurs endroits. Je signalais qu’il y en avait un précisément là puisque Binou le demandait.
Que l’eau s’évacue par les puisards, soit, mais ça n’explique pas pourquoi il y a plusieurs ouvertures dans le terre-plein là où il n’y a pas de puisard. Donc, pourquoi ces mutliples ouvertures, tel que demandé?
L’eau doit circuler par plusieurs chemins pour se rendre jusqu’au puisard. Les rues ne sont pas lisses et linéaires mêmes lorsque fraichement resurfacées. Avoirs plusieurs endroits pour faire circuler l’eau est une façon pour que celle-ci ne s’accumule pas à des endroits non-drainants. Il n’y a pas de puisards de l’autre côté du terre-plein ici, donc c’est impératifs de laisser l’eau percoler jusqu’au bord du trottoir.
En belle saison c’est moins évident, mais lorsque la neige fond, c’est encore plus important. Si on avait un terre-plein continu, on aurait des accumulations en continu de l’autre côté.
J’irai faire un petit tour à la première bordée. Je suis curieux de voir comment la piste sera déneigée mais aussi s’il y aura bien une chaîne de montagnes de neige bien compactée à la place du terre plein.
Donc on suppose que la rue est construite avec une pente plus prononcée vers la gauche qui amène le percolement de l’eau jusqu’au bout de la piste à travers les multiples ouvertures, pour ensuite glisser en descente vers les puisards le long de la piste.
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Quand j’ai entendu qu’un ado avait été happé par un conducteur sur le boul. Louis-H.-Lafontaine/ la 40, je n’avais pas d’image en tête (l’ado a succombé à ses blessures )
La journaliste Catherine Dib a été sur place
Via le thread d’Annie Desrochers, animatrice de l’émission radio Le 15-18
Passage pour piétons boulevard Louis.H-Lafontaine et boulevard Métropolitain dans l’arrondissement Anjou.
Un garçon de 15 ans a succombé à ses blessures hier alors qu’il a été fauché la semaine dernière par un automobiliste qui conduisait un VUS.
Un secteur hostile à la marche qui relie pourtant une zone résidentielle à une zone commerciale.
Catherine Dib, Radio-Canada.
c’est la petite ligne verte sur Google maps quand on active l’option vélo
Un autre exemple d’aménagement aberrant c’est le côté nord de l’échangeur.
Il y a un trottoir aménagé des deux côtés, mais aucun aménagement piéton du tout pour traverser Louis.H-Lafontaine. On voit pourtant un chemin de désir qui indique que cette traverse est fréquemment utilisée.
C’est un détour de 30 minutes à pied si on veut éviter cette traverse dangereuse (d’ailleurs Google Maps propose le chemin plus direct et dangereux par défaut).
Une rue sans trottoir avec un abribus…
Un panneau « stop » et non « arrêt »
Et un vieil abri-bus avec la base du mur en béton!