I understand that this community is particularly aware of these things, and thats probably contributed to my bias. The ADM could have definitely done a better job of communicating the expansion plans. That being said, there have been multiple articles about this expansion for several years now, so its not necessarily hidden, nor is it old news.
I also agree that I dont think these people are necessarily acting in bad faith. Regardless of their motives, the potential outcome is the same: a slowdown and reassessment so late into the project which will inevitably lead to delays and cost increases, or outright cancelation. Lets just hope that dosent happen.
Malheureusement il n’y aura jamais d’unanimité concernant l’aéroport. Si on le déplaçait ailleurs on dérangerait d’autres résidents et cela exigerait d’autres milliards d’investissement.
Par ailleurs si on consultait les gens d’autres grandes villes qui vivent à proximité de leur aéroport ou proche des corridors aériens, on aurait exactement le même genre de réactions et d’objections.
Donc en dépit des meilleures intentions du monde, un aéroport à cause de sa nature, sera toujours à l’instar d’une autoroute; une superstructure de pont; des voies ferrées; un centre logistiques de transport; dérangeant à un degré plus ou moins important pour le voisinage.
Montréal ne fait pas exception et comme l’industrie aérienne continue sa croissance dans le monde, YUL n’échappe pas à une expansion nécessaire pour garantir sa compétitivité vis à vis de ses concurrentes nord-américains, comme à l’internationale.
Or je crois personnellement que les services rendus par l’aéroport de Montréal dépassent largement les inconvénients causés par ses opérations. En plus il contribue grandement à l’économie de la région, créé et soutien des centaines de milliers d’emplois directs et indirects, tout en permettant de relier la métropole et le milieu des d’affaires montréalais et québécois aux autres grandes métropoles et capitales du monde.
Finalement sans dénigrer les inconvénients personnels vécus par les riverains, il faut nécessairement relativiser les problèmes et noter que le bruit causé par les aéronefs est en constante diminution. Un couvre-feu est aussi en vigueur selon un horaire de nuit rigoureux et réglementé depuis nombres d’anneés.
Tandis que les résidents concernés ont tout de même le fardeau de s’ajuster par des mesures appropriées ou prévoir s’installer plus loin pour atténuer les irritants qui découlent naturellement d’une trop grande proximité à un aéroport.
D’autant plus que YUL est en opération au coeur de l’ile de Montréal depuis plus de six décennies. Bien avant l’apparition des développements domiciliaires du secteur aéroportuaire. En conséquence ces citadins ne peuvent pas invoquer une nuisance potentielle déjà présente avant leur propre arrivée dans le voisinage de Dorval.
Schipol (AMS) dans une zone très urbanisée aussi, pourvu que nos nimbys ne lisent pas ceci
Le 4 octobre 1992, le vol El Al 1862, un vol cargo international assuré par un Boeing 747 de la compagnie aérienne nationale israélienne, El Al, reliant New York, aux États-Unis, à Tel Aviv, en Israël, avec une escale prévue à Amsterdam, aux Pays-Bas, s’est écrasé sur une barre d’immeubles HLM de onze étages dans le quartier résidentiel de Bijlmermeer, dans la banlieue d’Amsterdam, peu après son décollage de l’aéroport d’Amsterdam-Schiphol. On dénombre 43 morts (39 au sol et les 4 personnes à bord) et 26 blessés au sol (11 grièvement, 15 plus légèrement)1.
Cet accident est considéré comme le plus meurtrier de l’histoire aéronautique survenu aux Pays-Bas (bien que la catastrophe de Tenerife, survenue en 1977 aux Canaries et impliquant un Boeing 747 de la KLM, ait fait davantage de victimes).
La compagnie El Al est condamnée devant un tribunal néerlandais pour défaut d’entretien sur son appareil. Les deux ailes du bâtiment touchées par l’impact sont détruites, à leur place est érigé un monument commémoratif. Des tensions diplomatiques apparaissent également entre les Pays-Bas et Israël, car l’avion transportait illégalement des composants rentrant dans la composition d’armes chimiques dans la formule du gaz neuro-toxique Sarin.
L’accident affecte 850 civils dans la zone du crash dont des habitants, des témoins et des sauveteurs qui subissent dans les mois qui suivent le crash divers maux inexplicables dont des migraines, des insomnies, des troubles respiratoires et nerveux, des pertes de mobilité, des faiblesses musculaires généralisées, des infections pulmonaires et rénales, des ulcérations des bras et des jambes, des problèmes thyroïdiens et des plaies incurables
