Rue Saint-Denis (Plateau) - Actualités commerciales

Quelques nouvelles commerciales de la rue Saint-Denis mais dans le Quartier Latin.

Le local du défunt resto Le Pèlerin Magellan sur Ontario est en rénovation pour un agrandissement du ‘‘Bordel comédie club’’. Donc on a perdu un restaurant intéressant mais au moins un lieu ludique prend de l’expansion et c’est bien ainsi.

Il y a quelque chose qui se trame dans le petit local sur le coin sud-est de Saint-Denis et Ontario. Hâte de vois ce qui s’en vient

Il y a de la rénovation dans l’immeuble au nord-ouest de Saint-Denis et Ontario et sur le permis il est indiqué que c’est pour usage Hôtel

Et l’excellent Tacos Victor qui a pris naissance sur Notre-Dame dans Saint-Henri il y a quelques années ouvre une succursale Tacos Victor Saint-Denis dans ce qui était jadis le resto Cinko je crois.


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Pour l’hôtel au coin Ontario, j’espère vraiment qu’on va décaper la pierre. On a tellement de beaux bâtiments en brique ou en pierre sur St-Denis qui ont été peint. Cette peinture les endommages (surtout la brique) et la ville devraient vraiment encourager les propriétaires à retaper leur façade, surtout dans le Quartier Latin, comme avec la magnifique enfilade entre Sherbrooke & Ontario du côté est.

Reportage au Téléjournal 18h lundi soir
Les 3 commerçants qui ont mis en demeure la Ville au sujet du REV n’ont pas voulu commenter :wink:
Le reportage parle de 15 nouveaux commerces sur Saint-Denis depuis le début de l’année!

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Une nouvelle épicerie coréenne sur Saint-Denis, portant le nom de Gangnam Style:

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Dans le district de Gangnam en 2018
Sur l’écran à gauche de la sculpture, on peut visionner le vidéo-clip en boucle :wink:

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Je suis allé faire un tour hier dans cette nouvelle épicerie spécialisée. Le propriétaire est super gentil et aidant, la place est très belle, très bien présentée. Il y a une belle sélection de produits asiatiques. J’ai ramassé des gyosas, des cubes à curry, de la pâte de piment, des ramens et des mochis à la crème glacée. C’est une offre qui manquait dans le quartier, bien content d’avoir ça pas loin maintenant !

Le propriétaire nous a mentionné qu’il allait avoir un petit volet restaurant, et il va aussi s’étendre à la viande style BBQ coréen.

En général, Saint-Denis a encore pas mal à faire pour remonter la pente, mais les ouvertures des derniers mois sont souvent de belles adresses je trouve, vraiment une nouvelle génération de commerces.

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Il semblerait que le local de l’ancien GAP n’est plus à louer:

C’est un gros trou dans la trame de commerces pour Saint-Denis, un nouveau commerce à cet endroit va faire du bien.

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C’est quand même ordinaire de tag #revmtl avec cette nouvelle.

Dans la série « je fréquente des commerces sur Saint-Denis pour la première fois en dix ans parce que c’est rendu agréable maintenant », j’ai essayé La Petite Dînette. Une espèce de diner rétro mais avec de la nourriture rapide fusion québécois-vietnamien.

La Petite Dînette (lapetitedinette.com)

L’endroit est assez joli :

Le plancher est extrêmement réfléchissant et j’aime ça.

La nourriture était bonne, on a essayé des « cogos », des espèces de pogos évolués, ainsi qu’une patate tornade, mais faut s’attendre à un repas très peu santé ! C’est de la bonne friture. Le café vietnamien était extrêmement fort aussi. Il a fallu attendre longtemps pour la commande, les deux employés sur place font tout, travaillent fort, et doivent composer avec un menu assez large. Idéalement il faudrait un ou deux employés de plus.

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Un nouveau type de restaurant sur Saint-Denis. Un projet par la chef-proprio du Canting dans Pointe-Saint-Charles

Un nouveau resto pour tester les idées des jeunes chefs

Publié le 9 août 2021
par Alexis Boulianne

La chef Helena Han Lin dans sa cuisine.
Helena Han Lin veut voir se développer la relève de la restauration. | Photo : courtoisie / La Canting

Jus, un restaurant consacré au mentorat et à l’apprentissage pour des chefs en début de carrière, ouvrira bientôt ses portes sur le Plateau-Mont-Royal. C’est la chef Helena Han Lin, du restaurant Canting, qui pilotera l’entreprise. À la fois incubateur et restaurant éphémère, Jus veut donner la chance à la relève de se faire la main avant de se lancer en affaires.

L’année 2020 de la chef a été marquée par l’ouverture de son restaurant au milieu de la pandémie de COVID-19. Je pense qu’on oublie à quel point ç’a été difficile; c’est déjà dur d’ouvrir un restaurant en temps normal, fait savoir Helena Han Lin. Je pensais [avant d’ouvrir La Canting] que je connaissais tout ce que ça prenait pour démarrer une entreprise.

La plupart des restaurants font faillite non pas parce que le concept est mauvais, mais parce que les chefs ne sont pas des hommes et des femmes d’affaires.

HELENA LAN LIN, CHEF PROPRIÉTAIRE DE LA CANTING

Ouvrir un restaurant, c’est très risqué et ça coûte cher, continue-t-elle. Il faut savoir comment organiser son menu [et l’approvisionnement], comment établir les prix.

Jus, c’est ce qu’Helena Han Lin aurait aimé avoir lorsqu’elle s’est lancée dans l’aventure de La Canting, son restaurant d’inspiration chinoise et taïwanaise dans l’arrondissement du Sud-Ouest, à Montréal : Avoir un mentor, parler de développement de carrière, c’est quelque chose qui m’a manqué.

Le nouveau restaurant, qui sera situé rue Saint-Denis au nord de la rue Rachel, est un peu la réalisation de l’idée de base de La Canting. « Au début, je voulais que La Canting soit un restaurant pour le lunch, puis un bar à vin et restaurant éphémère [avec une ou un chef invité] le soir, explique Helena. Mais dans le quartier où nous sommes, les gens voulaient plus un resto de quartier, avec les mêmes plats de soir en soir. »

Celle qui a commencé sa carrière en restauration en 2016 avec un stage au Garde-Manger, avant de passer au Elena et au Bouillon Bilk, souhaite aujourd’hui transmettre son expérience à la prochaine génération de cuisiniers et de cuisinières.

À Jus, les chefs en résidence auront six mois pour tester leur concept de restaurant et se faire la main en gestion de restaurant avec l’aide d’Helena. Le menu sera établi, les vins choisis en accord, puis l’ambiance neutre et minimaliste du local sera adaptée au concept. Si les chefs parviennent à la convaincre, Helena Han Lin pourra investir dans leur projet. « Tout le monde est gagnant », souligne-t-elle.

« Je ne sais pas si ce sera un menu dégustation ou à la carte, mais je sais que je veux que les plats soient simples, bien faits et surtout évolutifs », résume la chef. Aucune date d’ouverture n’a été annoncée pour l’instant.

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Saint-Denis nord de Rachel…les anciens locaux de Gap/Telus?

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Petite balade sur Saint-Denis dans le Plateau en ce dimanche midi. Il y avait du monde, pas la foule mais plus que d’habitude. Une belle ambiance intéressante. Beaucoup d’anglophones, je ne sais pas si ce sont des touristes de l’extérieur, des touristes de l’ouest de la ville ou tout simplement des habitants de quartier.

Il y a encore plusieurs commerces vacants et quelques fermetures annoncées. Par contre il me semble y avoir beaucoup de nouveaux commerces. Je sais que certains comme le E4M et NUV62 sont là depuis quelques temps mais c’est quand même relativement nouveau selon mou.

Les voici:












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La boutique phare de Lambert (fabricant de sacs en cuir végane) ouvre officiellement le 10 septembre au 5085, rue Saint-Denis

Voir Annonce sur FB

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Particulier comme choix de location, car c’est plutôt loin des parties commerciales de Saint-Denis et Laurier. Ça peut être un avantage comme un inconvénient! Par ailleurs, connaît-on l’histoire du bâtiment? Est-ce une ancienne banque?

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En passant devant le Lambert en fin de semaine, il y avait pas mal de monde dedans. L’entrée est bien faite et les vitrines aussi, on ne manque pas que c’est un commerce (je crois que c’est une ancienne banque et les édifices du genre sont parfois un peu opaque de la rue). C’est un coin avec quand même une grande visibilité (le trafic piéton est énorme sur Laurier), alors il y a déjà ça comme avantage.

J’ai marché la SDC Saint-Denis en fin de semaine, et j’ai compté 28 pancartes à louer. C’est une diminution par rapport à ce que j’avais compté l’année passée à 35. Ce qui donne surtout espoir pour la rue, c’est de voir les nouveaux commerces être à la mode et populaire. Ce n’est pas facile de réinventer une rue et changer sa perception, mais avec un changement rapide d’une grande part des commerces la rue, ça semble s’opérer. En tout cas ça marche pour moi, on a maintenant quelques adresses pour lesquelles on y retourne. Il y a deux ans, j’allais sur Saint-Denis juste pour acheter de la bouffe à mon chat.

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Même il y a deux ans il y avait plus de raison que cela d’aller sur Saint-Denis. Il y avait (et il y a toujours) l’Express, le Renaud-Bray, Ibericos, Le Barouf, Boutique Courir, L’Escogriffe, Le Quai des Brumes, Zone Maison, Marché Tau, Le Dieze Onze, Au Festin de Babette, La Brulerie Saint-Denis, le Marrakech store, Librairie Ulysse, Théâtre du Rideau vert et mes endroits préférés, bien qu’en dehors de la SDC, soit le Café Cherrier, le Mamie Clafoutis et le Square Saint-Louis.

Et maintenant, il y a du nouveau depuis 2 ans. La Binerie, Joséphine, Paradis Montréal, Resto Barranco et son voisin Maé Sri, Chocolat Andrée et La Panzéria café.

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Oui c’est certain qu’il y avait encore des raisons d’y aller, je parlais de la perspective de mes préférences et de mes habitudes. J’ai bien l’impression que le commerce fonctionne par vague, et si on n’a pas surfé sur cette vague pour une rue commerciale en s’y rendant souvent, on est moins enclins à y aller une fois celle-ci passée, dans notre quotidien.

Avoir des adresses établies n’a pas la même force d’attrait que d’avoir une vague de nouveaux commerces qui sont à la mode et font parler d’eux, pour attirer une nouvelle clientèle. Il y a eu un creux de ces nouvelles ouvertures intéressantes à mon avis depuis que j’habite le quartier (quelques-unes pas mais des masses), mais ça change là, je suis allé essayer pleins de nouveaux commerces sur toute la longueur de la rue. Ce qui fait qu’on a les clients fidèles de la rue et une nouvelle génération d’acheteurs, et potentiellement rejoindre le rang des fidèles!

Tu as raison lorsque tu évoques un ‘‘creux’’ entre la belle époque de la rue Saint-Denis et celle toute récente. Et j’ai aussi l’Impression qu’une bonne partie de la vieille gang de la rue dans les années 80 et 90 a partiellement disparu. Les visages ont changé et cela laisse indéniablement une cicatrice qui est visible pour les plus vieux comme moi.

Chaque fois que j’y retourne (presqu’à chaque semaine) j’essaie de retrouver mes repères des années passées. La plupart ne sont plus là, bien sur, mais l’âme de la rue Saint-Denis de l’époque est toujours présent, il n’y a aucun doute. Cette rue est la quintessence de l’urbanité à la québécoise. ​
C’est notre ‘‘création’’ d’une rue à saveur commerciale dans un continent relativement différent de nous et dont nous avons essayé de nous distinguer depuis belle lurette. Saint-Denis était notre façon de dire que nous existions par rapport à Broadway, à Ste-Catherine, à Saint-Laurent et aux autres grandes aventures urbaines de ce continent. Avec Saint-Denis, le québécois existait désormais en tant qu’urbain et osait exprimer son architecture, son art de vivre, sa littérature, sa culture et surtout ses désirs et ses envies politiques. Et éventuellement sa gastronomie et sa mode.

Quiconque ne comprend pas cela ne peut saisir l’âme de cette rue ainsi que ce qu’elle représente dans le cœur et l’esprit des montréalais de l’époque, donc d’un certains âge. On espère aujourd’hui que cet âme se renouvellera avec cette jeunesse qui a envie d’y apporter son grain de sel en vélo et en éco. Mais il ne faudra pas oublier ce qui fut fait car sinon ca serait se priver de l’essentiel.

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Une liste par Tastet des cafés de la rue Saint-Denis où on peut travailler

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Inauguration de la boutique Carré Blanc aujourd’hui

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