Le Comité de démolition a donné son aval à l’unanimité au projet. Les commentaires émis pour la version précédente (notamment que les logements sur Saint-Hubert soient accessibles de la rue ont été intégrés.
19 « J'aime »
Je me demandais, sommes nous obligé d’avoir du stationnement en souterrain ? J’étais à NY dernièrement et certains immeubles modernes n’ont aucun stationnement souterrain donc pas d’entrée/sortie de stationnement, ce qui améliore grandement l’interaction avec le niveau de la rue au lieu d’un stationnement.
2 « J'aime »
Je ne comprends pas la “commémoration” du DaGiovanni. Quel est son intérêt architectural? De quelle façon sera-t-il “préservé” ?
Intégrer un stationnement dans ce secteur est ridicule.
1 « J'aime »
C’est exactement ce que je me dis. On est en plein centre de la ville, au dessus de 3 lignes de métro et à proximité de plusieurs lignes de bus. C’est fou d’inclure un stationnement souterrain. Je ne peux pas croire que nous sommes si dépendant que cela au point d’y avoir des stationnements souterrains partout.
2 « J'aime »
Puisqu’on a établi les avantages d’avoir des stationnements souterrains pour vélos près des grands axes de pistes cyclables. Ce serait une occasion d’améliorer la mobilité active du quartier, en réservant de la place pour ce type de véhicules sur deux roues (actifs ou électriques).
Elle paye actuellement 400$ selon le devoir du 21 feb 2023 et se fait offrir un logement et 20 000$ (plus que 4ans de loyer) mais elle refuse et veut un penthouse plus 50 000$ (10ans de son loyer actuel)…
Sérieusement si le projet est annulée… elle n’aura aucun droit de se plaindre de la décrépitude de son bâtiment et de son voisinage… le seul immeuble qui semble être lui de son logement est littéralement une dump, avec l’étage du dessous et du dessus barricadés…
J’espère vraiment qu’elle va entendre raison et accepter un offre pour pas qu’on se retrouve avec un autre nid à feux pendant des années comme au coin St-Antoine et de la Montagne.
8 « J'aime »
J’étais de son bord aussi quand j’avais vu l’histoire initialement. Il me semblait que la seule manière juste de dédommager la dame était de lui offrir un logement. Il semble que MONDEV lui en ait offert un, mais qu’elle n’aimait pas l’emplacement. C’est de la mauvaise foi à ce point-ci.
7 « J'aime »
En effet, je crois que la dame veut profiter de la situation pour s’en mettre plein le poches. Le ‘‘deal’’ me semble fort respectable mais elle a décidé de viser le gros lot, dommage car moi aussi j’étais de son bord initialement.
Lone tenant in a $400-a-month apartment could hold up major Montreal condo project
Carla White walks outside her apartment in Montreal on Thursday, May 25, 2023.
THE CANADIAN PRESS/Christinne Muschi
By Morgan Lowrie, The Canadian Press
Posted May 30, 2023, 4:00AM EDT.
MONTREAL — As Carla White looks out the window of her yellow-and-pink, plant-filled apartment in the heart of downtown Montreal, she wonders where she’s going to live next.
“I look out there and say, where am I going now?” she says, gesturing at the highrises that tower above the building where she lives.
The apartment is small and cluttered, it doesn’t have a working stove and her bed and small desk take up most of the floor space. But it’s home and, at $400 a month, the price is right.
White, who declined to give her age, says she was homeless after multiple previous evictions before she found a home she could afford a decade ago. The small bachelor apartment has given her a measure of stability. But like so many low-income tenants in Montreal, she finds that stability threatened by gentrification and development.
She is the only remaining tenant in her building, which is slated to be demolished to make room for a 176-unit condo project. But in order to move forward, the developer must reach an agreement with White — and she says she won’t leave until she’s provided with a home that offers the long-term stability she needs to ensure she won’t end up back on the streets.
In a meeting at the beginning of May, the city’s demolition committee voted to approve the demolition of the building at the corner of St-Hubert and Ste-Catherine streets, which includes the former site of a well-known Italian restaurant, Da Giovanni. However, the approval has conditions attached, including that the developer demonstrate that the file has been settled with the holdout tenant, according to the committee meeting minutes.
The developer, Mondev, did not respond to a request for comment. But at the May 1 committee meeting, senior partner David Owen said the company has been trying to negotiate with White for “three or four years” without success.
He said that the company has offered White a different apartment, which she refused. They then offered her $20,000, which she also refused, he said. “She indicated to our lawyers that she wanted a penthouse and an amount of more than $50,000,” he told the committee.
White and her lawyer, Manuel Johnson, say she’s not asking for anything unreasonable, given the city’s skyrocketing rents and the disappearance of affordable housing. Johnson believes her story is a “classic class conflict,” that pits the desire of wealthy developers to make a profit against the needs of the wider population.
“The right to make profits in real estate development exists but is not unlimited,” Johnson said. “It should not take precedence over the fundamental right to housing, which is a fundamental human need.”
He said White wants an apartment with an affordable rent guaranteed for at least five years, or the equivalent in cash. They acknowledged the developer did offer White one apartment, but she says she didn’t feel safe in the proposed building and wasn’t convinced the rent wouldn’t rise.
White, for her part, says $20,000 won’t last her long when apartment rents in Montreal have shot up, and most of the ones she sees range between $1,400 and $1,700 a month.
“How far will $20,000 go (at) $1,600 a month?” she said. “I will be evicted within a year. I will be out on the roads.”
She says a place with access to an outdoor garden would suit her taste, but she’s willing to consider different areas of the city.
Robert Beaudry, a city councillor and chairman of the demolition committee, says the requirement that the developer reach an agreement with displaced tenants is not new, and that the rights of tenants are already enshrined in bylaws and regulations. However, he said the administration wanted to highlight the requirement in this case, because it is concerned about affordable housing.
“In the current state of things, it’s very hard to find new housing, so we wanted to re-emphasize the fact that according to the regulation, they have to show that everything has been done to respect the rights of the tenant,” he said in a phone interview.
While Beaudry believes there is “goodwill” from the developer to negotiate, it’s unclear what will happen if an agreement can’t be reached.
The two parties are set to appear in June before Quebec’s administrative housing tribunal, which adjudicates disputes between landlords and tenants. Johnson, however, doesn’t believe that body will have the authority to impose a deal, especially because he and his client are satisfied with the city’s ruling.
He believes that if an agreement isn’t reached, it will be up to a Quebec Superior Court judge to clarify, which could be a much longer process.
Johnson said Monday he has learned that two people have filed appeals of the demolition committee decision, but did not yet know their identity. He said the appeal would be heard at a borough council meeting in June.
This report by The Canadian Press was first published May 30, 2023.
Morgan Lowrie, The Canadian Press
1 « J'aime »
Citation très intéressante, compte tenu du besoin réel de la population qui est PLUS DE LOGEMENTS. Une seule personne, qui n’est pas satisfaite d’un appartement à loyer stabilisé et de 20 000 dollars, bloque plus de 170 personnes ou familles de trouver un logement dans le quartier.
c’est elle qui est contre le logement abordable, pas Mondev. Et de ma présence sur ce forum, vous savez que je ne suis pas aveuglément complice pour les développeurs. Folie
5 « J'aime »
Il y a eu un post sur r/montreal hier. J’étais quand même surpris que la majorité des commentaires était en support de Mme. White, même après que c’était clair que le Mondev la proposé un autre appartement à 400m de son appart actuel pour le même pris, plus $20k.
De toute façon, il semble que Mondev n’est plus intéressé à négocier.
2 « J'aime »
J’ai l’impression que les personnes qui se rangent de son côté ne fréquentent pas le coin. Ils ne comprennent pas la réalité de ce bloc, qui a un besoin urgent de logement et d’amélioration.
8 « J'aime »
Je crois qu’en général le support qu’elle reçoit est plutôt le fait que le monde aime défendre l’individu qui affronte les entreprises ou contre le capitalisme, le David contre Goliath, l’underdog.
7 « J'aime »
Faire de l’obstruction une notion d’héroïsme m’apparait très discutable, parce que basée à prime abord sur de pures perceptions émotionnelles et fictives au dépend de faits objectifs. J’ai naturellement de la compassion envers les véritables victimes d’abus en matière de logements. Cependant je n’approuverai jamais le chantage qu’il vienne d’un côté ou l’autre des opposants.
5 « J'aime »
Il y a eu deux demandes de révision de la décision d’autoriser la démolition de ces édifices (avec conditions). Au prochain CA de Ville-Marie, l’autorisation de la démolition sera maintenue, rejetant donc ces deux demandes.
Voici les arguments de ces deux demandes de révision:
- La quantité de places allouées au stationnement est inacceptable, car il faut réduire l’utilisation de l’automobile même électrique;
- Le comité n’a pas tenu compte des caractéristiques du quartier Centre‐Sud. Le projet proposé ne correspond pas aux besoins des résidents du quartier, quant à la crise du logement;
- Aucune information fournie sur les commerces qui s’y installeront n’a été présentée;
- Une entente devrait être signée avec les communautés autochtones;
- La démolition des bâtiments existants et l’approbation du nouveau projet devraient être traitées séparément.
Dossier 1236926002
(Alerte au PDF de 2000 pages)
(Ces deux demandes ont visiblement la même source, dont l’AFESPED UQAM, qui a écrit un texte bourré de fautes “plateformes de type Airb&b”, promoteur “Mon Dev”. C’est un peu surprenant.)
1 « J'aime »
Je me demande si l’AFESPED a eu une entente avec les communautés autochtones pour faire cette demande 
2 « J'aime »
Projet immobilier à la place Émilie-Gamelin Une locataire face à un promoteur
PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE
Des immeubles à l’angle des rues Saint-Hubert et Sainte-Catherine, dont celui de l’ancien restaurant Da Giovanni, sont promis à la démolition pour faire place à un projet immobilier.
Un important chantier immobilier au cœur de la zone dévitalisée du Quartier latin ne pourra pas débuter avant que l’ultime locataire des lieux accepte de partir, a averti cette semaine la mairesse de Montréal.
Publié à 5h00
Philippe Teisceira-Lessard La Presse
Mondev veut construire une tour résidentielle de 16 étages et 176 logements à l’angle des rues Saint-Hubert et Sainte-Catherine, devant la place Émilie-Gamelin. Le secteur fait les manchettes depuis des mois en raison de la crise sociale qui y sévit.
Mais le promoteur se bute depuis des mois à un problème de taille : une locataire, Carla White, qui habite un modeste appartement dans un immeuble promis à la démolition, refuse obstinément de le quitter. Elle a refusé un chèque de 20 000 $ ainsi qu’un plus bel appartement à seulement 400 $ par mois, selon l’entreprise, qui dit être à bout de ressources.
PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE
La mairesse de Montréal et de l’arrondissement de Ville-Marie, Valérie Plante
« C’est [un projet] important, comme tous les projets d’ailleurs. Mais dans nos conditions, il y a celle de s’entendre, de trouver une solution pour la locataire, a affirmé Valérie Plante en marge d’une conférence de presse, jeudi. Notre condition demeure. Elle est là. »
La mairesse a appelé Mondev à « entendre les préoccupations » de Mme White.
Impasse
Michael Owen, codirigeant de l’entreprise, a assuré que ses équipes discutent depuis longtemps avec la locataire, mais qu’elles ont maintenant atteint une impasse.
Elle ne veut rien savoir. Ça fait des années qu’on lui parle.
Michael Owen, codirigeant de Mondev, au sujet de la locataire Carla White
« Elle veut un penthouse avec une vue sur le centre-ville, une vue vers l’ouest. Une grande terrasse. Ce sont des demandes selon nous complètement déraisonnables », a exprimé M. Owen en entrevue téléphonique. Selon lui, la locataire voit la situation comme « un billet du Lotto 6/49 ».
IMAGE FOURNIE PAR LE COMITÉ D’ÉTUDE DES DEMANDES DE DÉMOLITION DE L’ARRONDISSEMENT DE VILLE-MARIE
Aperçu de l’immeuble de 16 étages que Mondev souhaite construire à l’angle des rues Sainte-Catherine et Saint-Hubert
L’homme d’affaires s’inquiète de la possibilité que cette situation entraîne des « délais importants dans le projet ». « Il y a une crise du logement, il y a beaucoup de monde qui a besoin de logement, a-t-il dit. Pourquoi arrêter ou ralentir un projet qui peut amener 176 nouveaux logements pour 176 personnes, juste parce qu’elle ne veut pas déménager ? »
La cause est maintenant devant le Tribunal administratif du logement.
« Stabilité de logement »
Me Manuel Johnson y représentera les intérêts de Carla White.
Il a fait valoir que sa cliente voulait simplement obtenir une stabilité résidentielle à long terme et que la position de sa cliente était dépeinte de façon exagérée par Mondev.
Selon lui, l’appartement qui lui a été offert présentait des problèmes sur le plan de la sécurité et n’offrait pas le même espace extérieur que son logement actuel.
« Elle est toujours intéressée à avoir un logement, a dit Me Johnson. Maintenant, l’offre de 20 000 $, c’est non. Ce n’est pas suffisant pour lui donner une stabilité de logement pour plus d’un an ou un an et demi. Le 20 000 $, elle va le mettre dans les poches d’un autre propriétaire. Les logements disponibles maintenant à Montréal c’est 1000 $, 1500 $. »
Surtout, l’avocat veut recadrer le débat : ce n’est pas Carla White qui va profiter financièrement du projet immobilier proposé par Mondev, souligne-t-il. C’est Mondev.
« Je présume qu’ils vont faire des millions en profit, a-t-il plaidé. La revitalisation : oui. Mais il faut que ça profite à tous et à toutes, pas juste à une petite poignée de personnes. »
Plante se prononcera mardi
En tant que mairesse de l’arrondissement de Ville-Marie, Valérie Plante devra se prononcer mardi sur le projet. Le comité d’étude des demandes de démolition a autorisé Mondev à détruire les immeubles actuellement sur le site – dont l’édifice de l’emblématique restaurant Da Giovanni –, mais cette décision fait maintenant l’objet d’un appel devant les élus.
« Les communautés autochtones, les comités logement, la communauté LGBTQ+, les associations étudiantes de l’UQAM et du Cégep du Vieux-Montréal ainsi que les organismes communautaires doivent être consultés.e.s et avoir un droit de veto, soutient la lettre d’appel. Si tous ces groupes sont d’accord, alors le projet doit être soumis à un référendum. »
Les fonctionnaires de l’arrondissement recommandent aux élus de rejeter cet appel et de confirmer le feu vert à la démolition.
Michael Owen ne comprend toutefois pas pourquoi le comité d’étude des demandes de démolition a établi qu’une entente avec Mme White devait faire partie des conditions à remplir avant de pouvoir détruire les édifices actuels. Le règlement sur la démolition prévoit déjà qu’un promoteur doit indemniser un locataire qui perdrait son logement ou encore démontrer qu’il a négocié de bonne foi pour le faire. « Ce que je comprends du règlement de la Ville, c’est qu’on doit démontrer notre bonne foi, et je pense qu’on l’a fait », a-t-il dit.
Revitalisation du quartier : l’UQAM et les commerçants s’impatientent
Il faut que des projets sortent rapidement de terre pour donner un nouveau souffle à l’est du centre-ville de Montréal, plaident la direction de l’UQAM et les commerçants du secteur, qui s’impatientent devant le marasme actuel.
PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE
Le recteur de l’UQAM compte créer un vice-rectorat consacré à la revitalisation de l’est du centre-ville de Montréal, notamment le secteur autour de la place Émilie-Gamelin.
Le nouveau recteur de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) veut même ajouter un membre à son état-major pour s’occuper spécifiquement de cet enjeu, a appris La Presse.
Le quartier « a perdu de son lustre, c’est indéniable », a fait valoir en entrevue téléphonique le recteur Stéphane Pallage, nommé en avril dernier*.* « Il y a des éléments préoccupants très visibles, par exemple du côté de la place Émilie-Gamelin. C’est clair que le quartier a vraiment besoin d’une revitalisation. »
PHOTO ÉMILIE TOURNEVACHE, TIRÉE DU SITE DE L’UQAM
Stéphane Pallage a été nommé recteur de l’UQAM en avril dernier.
M. Pallage n’a pas voulu commenter précisément le projet de Mondev à l’angle des rues Saint-Hubert et Sainte-Catherine, affirmant ne pas bien le connaître. Mais « il y a des chantiers qui sont là depuis un certain temps et qui traînent, c’est certain que ça nuit à la vitalité du quartier », a-t-il dit.
Des lieux à l’abandon, ce n’est jamais bon dans un quartier. Ça nuit à l’image.
Stéphane Pallage, recteur de l’UQAM
Les problèmes de ce secteur de Montréal, à cheval entre le Quartier latin et le Village, sont si importants aux yeux de M. Pallage qu’il souhaite y consacrer un nouveau service.
« J’ai décidé que j’allais créer, au sein de l’UQAM, un vice-rectorat dédié à la revitalisation du quartier avec vraiment cette mission de coordonner les expertises que nous avons dans nos différents départements », a-t-il dit. Cette nouvelle entité ne se mêlera pas d’immobilier, a promis M. Pallage, mais tentera de voir comment l’UQAM peut contribuer à la renaissance du secteur.
« Grande impatience »
Les gens d’affaires du Village aussi aimeraient que les choses progressent dans ce secteur de Montréal.
Gabrielle Rondy, directrice de la Société de développement commercial (SDC) du Village, a directement exprimé son impatience quant au projet de tour de 16 étages de Mondev.
« Il y a vraiment une grande impatience, a-t-elle affirmé. C’est le départ de la revitalisation du Village qui passe par un grand projet. L’attente fait mal à l’entrée ouest du Village, avec des locaux vacants et des locaux abandonnés. On a très hâte que le projet suive son cours et qu’on passe à la prochaine étape avec la démolition. »
Pour elle, l’investissement majeur du promoteur immobilier dans le secteur pourrait entraîner un cercle vertueux.
Quand il y a de l’investissement, quand il y a de la construction, ça montre que le quartier est important. Je pense que ça va envoyer un message positif à tout le monde. Le secteur en a besoin. Il a besoin d’encore plus.
Gabrielle Rondy, directrice de la Société de développement commercial du Village
Mme Rondy s’est dite déçue par la mise en veilleuse du projet de Mondev sur le terrain de l’autre côté de la rue Saint-Hubert, en raison de la hausse des taux d’intérêt. La SDC aimerait convaincre le promoteur immobilier de l’autoriser à mieux habiller les locaux vacants sur ce terrain en attendant son développement.
2 « J'aime »